Depuis la pipe mémorable de dimanche, je ne fais que bander en pensant à Sophie. Nous sommes déjà mercredi, et je n’ai pas revu celle qui hante mes pensées. J’ai beau me branler plusieurs fois par jour en rêvant de ses seins, de sa chatte, de son cul, je recommence à bander très rapidement. Quand pourrai-je la baisser?
C’est dans cet état, que de retour de mon jardin, je vois sa voiture dans sa cour, mon sang ne fait qu’un tour, il faut que je trouve une raison d’aller chez elle. Une idée me vient, je vais lui proposer des salades de mon jardin. Aussitôt dit aussitôt fait, je retourne au jardin, ramasse deux belles salades et reviens en pressant le pas. Je suis devant son portail, j’ai le coeur qui bât fort dans ma poitrine et ma queue qui durcit déjà dans mon pantalon. Je sonne et j’entend sa belle voix :
-Qui est ce?
Je répond :
-C’est moi, Pascal, ton Vieux voisin,je voulais te donner des salades
-Pas de problème, je t’ouvre
La barrière s’ouvre, je rentre dans la cour et la vois apparaître dans l’encadrement de la porte d’entrée
-C’est gentil de penser à moi
Pour ça, je n’ai pas besoin de me forcer
-Rentre, je peux d’offrir quelque chose
-Oui, si tu veux
Je dépose mes salades dans la cuisine, j’ai du mal à marcher tant ma bite est dure et, bien-sûr, elle ne tarde pas à remarquer l’énorme bosse qui déforme le haut de mon short.
-Tu bandes mon vieux cochon, me dit-elle en mettant sa main directement sur mon sexe.
Sans lui répondre, je l’embrasse, je force le barrage, bien léger, de ses lèvres et recherche sa langue. Dans le même temps, je lui caresse les fesses de la main droite alors que la gauche commence à lui malaxer les seins. De son côté, elle ne reste pas inactive, elle me caresse la queue à travers mon short, puis cherche à défaire ma ceinture.
Je me retire un peu, enlève mon tee-short. Elle en profite pour enlever son chemisier et son soutien gorge, enfin je vois ses seins, ouah, qu’ils sont beaux, je me précipite dessus et commence à les sucer ce qui déclenche des petits gémissements de plaisir chez Sophie. De mes mains libres, je défais le bouton et la braguette de son pantalon que je descends sur ses chevilles. Ainsi baissé, j’ai le nez à la hauteur de son bas, je glisse ma main sur son pubis et je l’entend gémir encore plus fort quand je fais glisser sa culotte qui rejoint son pantalon. C’est le moment que je choisis pour l’asseoir sur la table, lui libérer les jambes encore entravés par son pantalon et sa culotte, lui écarter les cuisses et enfin découvrir son petit jardin secret. Je lui caresse la chatte doucement puis lui introduis un doigt entre les grandes lèvres, puis un deuxième. Elle commence à onduler du bassin, venant s’empaler sur mes doigts
-Oh oui, branles moi, me dit-elle
J’ai très envie de lui bouffer la chatte, alors je colle ma bouche sur ses grandes lèvres et je commence à lui introduire la langue dans sa grotte de plus en plus humide, voir même tremper
Elle crie «encore, encore, bouffes moi la chatte
Je m’attarde sur son clitoris que je suce comme une petite bite. Sophie se trémousse de plus en plus «Je vais jouir, oui, encore….ah» et là je reçois sur la langue une, deux, trois grosses giclées de cyprine.
Ouha, quel régal, je continue de lui lécher la fente afin de récupérer tout sa jouissance, j’en profite pour balader ma langue du côté de son anus que je lèche de plus en plus fort
-Arrêtes, tu me rends folle
Je lui introduis la langue le plus loin possible dans son cul guettant sa réaction
-Oui, c’est bon ta langue dans mon cil
Je m’enhardi et je commence à lui caresser la rondelette puis lui je lui introduis un doigt puis deux dans le cul, elle se cambre et jouis, je vois très nettement sa chatte gicler. Je me précipite, bouche ouverte, sur sa vulve afin de me régaler encore une fois de son foutre.
Toujours prisonnière, ma queue me fait mal dans mon short, je la libère de ses entraves et elle se dresse fièrement. Sophie en profite pour s’accroupir devant moi, elle veut me sucer, mais je ne la laisse pas faire, je l’oblige à remonter sur la table, je me glisse entre ses cuisses, elle recommence à frissonner, je lui caresse la chatte avec le bout de ma queue, je la fais glisser de bas en haut avec douceur
-Baisses moi, vas y baisses moi
Moi tour content de l’effet produit, je me fais désirer
-Salop, enfonce ta bite dans mon con
Alors, je la pénètre d’un seul coup, mon gland n’a aucun mal à aller toucher le fond de son vagin trempé, surtout qu’elle viens de me gratifier d’une nouvelle jouissance. Je commence un mouvement de va et vient de plus en plus rapide et violent, je cale ses pieds sur mes épaules et la bourre de plus en plus fort
-Ça te plait, salope
-Oh oui défonce moi
J’accélère encore mon va-et-vient et je décharge tout mon foutre au fond de sa chatte qui me répond par des contractions et une inondation de cyprine.
Je lui embrasse les seins, puis la bouche.
Il nous faut plusieurs minutes pour retrouver nos esprits.
On se redresse et à son tour, elle m’embrasse goulûment puis s’accroupit, gobe ma queue en débandade, la retire et me dit
-Laisses moi te nettoyer!!!!!!!!!!!!!!!!!
Histoire de Vieux Matou.