Jessy 11

—– Talis Cat —–

Je me suis rendu chez Claire ce soir là. Quand elle a vu mon expression elle a tout de suite compris. Elle a soupiré, a pris ses clés, est sorti de chez elle en fermant la porte. Puis elle m’a pris par le bras. Comment pouvait-elle rester aussi digne en sachant ce qui l’attendait ? Je n’ai alors pu me retenir. Je l’ai prise, là contre le mur. J’ai joui en elle.

Je l’ai entendu jouir elle aussi. Elle s’époumonait en criant mon nom, sans se soucier du voisinage. Puis nous sommes allés à la voiture, toujours sans un mot. Quand nous sommes arrivés je l’ai embrassée. Puis nous nous sommes dirigés vers la maison.

Tu nous attendais, impatiente. Claire a dit :
« – Bonsoir, Maîtresse Milady. Je suis à vos ordres, votre chienne fidèle. »
C’était ses premiers mots de la soirée, en dehors de ses cris de jouissance. Cela paraissait si naturel dans sa bouche. Tu as eu un sourire méchant, as pointé la cage posée près de toi et dit :
« – Rentres la dedans, salope. »
« – Bien, Maîtresse Milady. »
C’était très petit, elle a eu du mal à entrer. Tu as refermé la cage avec un gros verrou. Puis tu m’as dit :
« – Passes ta queue entre les barreaux, mon gros loup. »
J’ai été étonné que tu m’appelles ainsi. Mais j’ai obéit. Tu as eu l’air furieuse en me voyant déjà si dur. Claire a approché ses lèvres de mon gland puis s’est rappelée qu’elle n’était plus ma chienne mais la tienne. Son obéissance t’énervait. Tu pensais la briser mais sa docilité paraissait si naturelle… Enfin tu t’es résignée :
« – Pompes-le, sac à foutre. »
Elle s’est alors exécutée, faisait bien attention à ne pas trop y mettre d’ardeur. J’ai poussé un râle sourd. Tu te sentais de plus en plus excitée malgré toi. Tu lui as hurlé dessus :
« – Mieux que ça, pétasse ! C’est ça qu’on t’apprend dans tes écoles de secrétariat ! C’est pas une fellation, ça ! Tu veux me forcer à le faire moi-même ? Pour qui tu me prends ? Les larves comme lui ça se fait sucer par des déchets dans ton genre, pas par moi ! »
Tu as saisis un pique feu et tu lui as malmené, les seins, le flanc, le dos. Tu as insisté sur sa colonne vertébrale. Elle suçait maintenant de toutes ses forces : ça me rendait fou. Enfin tu as dit :
« – Bon… Recules-toi, lopette. »
J’ai obéi. Claire à tendu la langue entre les barreaux, comme si elle voulait encore me sucer. Tu as attrapée le haut de la cage et as appuyée avec ton pied sur sa langue. Elle a eu un rictus de douleur, un hurlement assourdi. Puis tu t’es agenouillée face à elle.

Elle t’a regardée. Tu lui as crachée au visage et as dit :
« – Tu ne me dévisages pas comme ça, connasse ! J’suis pas ta copine, d’accord ? »
« – Oui, Maîtresse Milady. Pardon, Maîtresse Milady. »
« – Bon, tu vas te faire enculer par la larve pour la peine. Mais tu dois avoir l’habitude de toutes manières, n’est-ce pas ? »
« – Oui, Maîtresse Milady. J’aime tellement me faire défoncer le cul, je suis une vraie pute. J’aborde régulièrement des hommes pour leur demander de me satisfaire quand François n’est pas dans les environs. Des femmes aussi parfois, je leur prête mes jouets. »
Claire joue très bien son rôle, ca t’excites terriblement. Tu continues :
« – Tu as aimée te faire violer dans le bureau alors ? »
« – Oui. Et puis sentir votre regard sur moi… J’ai été très déçue que vous ne restiez pas pour me voir sucer tout ces beaux mâles pour les inciter à me prendre toujours plus fort. Et aussi que vous n’accompagniez pas François quand il vient avec ses chiens… Si vous saviez quelle salope je suis, Maîtresse Milady ! »
« – Mais je le sais, ma petite pute, je le sais. C’est pour ça que tu es là. »
Tu souris :
« – On amènera les chiens plus tard, là tu vas te mettre en position pour mon petit chien à moi, regardes comme il dresse sa queue ! »
Tu ricanes alors que Claire colle ses fesses sur les barreaux, son anus positionné entre deux d’entre eux.

Je me place derrière elle. Tu me regarde et dis d’un ton paternaliste :
« – Pas d’hésitation, ma petite larve. Je sais que tu es une lopette mais là tu as bien vu que c’est une vraie cochonne. Il va donc falloir la défoncer bien fort ! »
« – Bien, Maîtresse Milady. »
J’attrape la cage, plante ma verge en elle, violemment. Elle est poussée vers l’avant mais elle se hâte d’attraper les barreaux pour ramener son cul à son emplacement initial, entrainant mon sexe loin en elle. Je la déchire au rythme de ses halètements. Tu te place de nouveau face à elle et lui crache dessus avant de lui demander :
« – Tu as envie de sortir de ta cage, hein ? Ces barreaux t’empêche d’être prise aussi profondément que tu le voudrait, n’est-ce pas ? »
« – Oui, Maîtresse Milady. Mon cul est bien trop dilaté pour se suffire de si peu. »
Tu souris, vas chercher le plus gros de tes godes-ceinture et te l’attaches autour de la taille. Tu le glisse entre les barreaux et Claire s’empresse de le sucer. Tu dis :
« – Et tu penses que la petite queue de notre lopette, suffira ? Moi je ne penses pas… »
« – C’est vrai, Maîtresse Milady. Je préférerais de beaucoup sentir votre grosse queue en moi. »
Tu souris à nouveau et murmure :
« – Bien… »
Puis tu t’adresses à moi :
« – Tu as eu ton quart d’heure de gloire, sale larve. Mais tu n’as pas été à la hauteur, comme d’habitude. Sors immédiatement de son cul, je vais te montrer ce qu’elle veut… »
J’obéis et reste sans bouger à côté de la cage. Tu ouvres cette dernière et Claire se traîne dehors.

Tu ne lui laisses pas le temps de soulager ses muscles endoloris, ni même de se relever et l’encules sauvagement. Elle hurle de douleur. Tu accentue tes assauts en me regardant :
« – Tu vois, c’est ça, qu’elle veut. »
Puis tu ajoutes d’un ton sadique :
« – Et tu ne pourras jamais lui donner ! »
Tu ricanes en défonçant de plus bel la pauvre Claire, maintenant en larmes. Enfin tu me dis :
« – Mets-toi à quatre pattes. Montres-nous ton cul. »
« – Oui, Maîtresse Milady. »
Tu te penches sur Claire et lui murmures à l’oreille :
« – Tu as vu comme il est obéissant ? »
Elle parviens à articuler faiblement :
« – Oui, Maîtresse Milady, une vraie carpette. »
« – Oui. Et vu qu’il n’a pas été capable de te donner le plaisir que tu attendais, tu dois avoir envie de te venger, non ? »
« – Oh oui, Maîtresse Milady ! Ce moins-que-rien n’a même pas été capable de m’enculer comme il faut ! Il mérite une punition ! »
Tu t’extrais de son cul et détache ton gode-ceinture avant de lui tendre :
« – Tiens, fais-toi justice. Et n’hésites pas, il ne mérite que ça… Et il va aimer de toutes façons. »

Claire saisit le gode et le fixe sur elle. Puis elle me prend. Elle n’y va pas trop fort. Elle sait que tu as envie de la réprimander, de la forcer à me défoncer encore plus. Ca ne rate pas. Tu te mets à hurler :
« – C’est ça que tu appelles le défoncer ? Un enfant de cinq ans lui ferait plus d’effet ! Tu as pourtant les outils pour… Vous êtes vraiment aussi incurable l’un que l’autre, incapable de sodomiser quelqu’un correctement ! »
Tu mets un autres de tes godes-ceinture autour de ta taille et t’installe derrière Claire. Tu saisis ma taille et t’enfonce en elle en la prenant en sandwich entre nous. Le gode de Claire s’enfonce au fond de moi. Tu fais bouger ma taille au même rythme que tes hanches. Claire gémit. Enfin tu prends ses mains et les posent sur mes hanches. Tu lui caresses les seins avant de reculer. Tu dis simplement :
« – Vas-y, pétasse, déchires-le. »
Elle obtempère. J’ai mal. Mais c’est si bon… Tu as ôtée ta ceinture, t’es assise sur le divan et te masturbes en nous regardant. Quelques chose te déplait dans le plaisir que je prend avec Claire, mais cela t’excite tellement… Quant à moi je pousse des cris de douleur, de plaisir. Je gémis le nom de Claire à plusieurs reprises alors qu’elle me prend sauvagement. Elle m’insulte, me serre les bourses, me pince les tétons, me claque les fesses. J’adore. Je bande comme jamais. J’ai trouvé ma Maîtresse. Celle dont je serais le chien. Mais qui sera aussi ma chienne. J’éjacule dans un râle. Tu ne t’es encore aperçue de rien, tu te caresses en poussant de petits cris.

Tu réalises alors que jamais je n’avais éjaculé en étant maltraité comme cela avec toi. Tu bondis, jettes Claire au sol :
« – Sale truie ! C’est MON soumis ! MA larve ! Je vais te tuer ! »
Tu éclates en sanglots. Je me redresse, te prend dans mes bras. Puis je murmure :
« – Tu peux être notre Maîtresse à nous deux, tu sais. Nous serons tour à tour l’esclave l’un de l’autre, suivant ton bon vouloir. Et elle pourra remplacer Anita aussi ! »
Tu te calmes un peu. Oui… Anita l’insoumise. Claire sera mieux qu’un simple remplacement. Enfin une vraie salope qui t’obéira au doigt et à l’œil. Tu pourras même t’amuser à devenir sa soumise le temps d’une soirée en sachant qu’un seul mot de toi rétablira tout. Et puis Séverine est gentille mais elle n’est là que pendant la journée… Et puis tu ne penses pas qu’elle irait jusqu’à se prostituer ou s’offrir aux hommes que tu lui désigneras. Alors que Claire… Oui, Claire le ferait. Parce que je suis là, parce que tu sais qu’elle m’aime. Mais tu veux une garantie, une assurance. Tu murmures :
« – C’est vrai François ? Vous serez à moi ? Tous les deux ? »
Je souris :
« – Oui, Maîtresse Milady. »
« – Alors frappe-la. Bourres-la de coup de pied. »
J’hésite un peu. Je vois que Claire porte encore les traces des maltraitances précédentes. Mais mon désir d’obéir est plus fort. Je commence à la frapper. Elle crie, se roule en boule. Mais elle n’appelle pas à l’aide. Tu m’amènes un fouet et me dis :
« – Vas-y, défoules-toi. Elle t’a enculée cette salope après tout… »
Je prend le fouet et frappe de toutes mes forces sans même y penser. Le sang coule des plaies de Claire. Enfin tu m’attrapes le bras :
« – Arrêtes, mon poussin, tu vas la tuer. »
Je m’aperçois alors qu’en effet j’aurai continué jusqu’à sa mort si tu ne m’avais pas arrêté. Parce que tu me l’avais ordonné. Je suis horrifié. Mais tu me caresses le visage, m’embrasses, me souris :
« – Tu as gagné. Elle est maintenant mon esclave. Je la ferais baiser par plein d’hommes. On achètera une cage plus grande. Je vous y enfermerai tous les deux, la nuit. Et je m’amuserai de vous voir vous contorsionner pour pouvoir vous caresser, faire l’amour. Oui, ce sera amusant… Surtout quand je vous séparerai d’un seul mot. Je vais faire de vous des esclaves sexuelles. Et vous allez adorer. »
Puis tu regardes Claire, ta main est toujours sur mon visage. Tu dis :
« – François, sur le divan. Claire, viens me lécher. »
Claire se traîne péniblement jusqu’à toi. Elle veut se relever mais elle a trop mal. Tu l’attrapes par les cheveux et lui adresse un sourire moqueur :
« – Ben alors, on est fatiguée, ma pute ? Je croyais qu’on avait l’habitude de se faire déchirer les trous par des malabars ? Ne me dit pas qu’ils ne te maltraitent pas un peu ! »
Elle hoche vaguement la tête et tu la relâches elle retombe lourdement au sol. Tu t’assoies face à elle, écarte les cuisses et attends. Claire s’approche et commence à te lécher, te doigter. Tu pousses un soupir. Elle s’y prend bien, malgré son corps meurtri. Oui, elle remplacera très bien Anita… Ce n’était pas un si bon coup. Tu savoures sa langue. Puis enfin tu lui dis :
« – Dans ta cage, vite. »
Elle murmure faiblement :
« – Oui, Maîtresse Milady. »
Elle veut se lever mais n’y arrive toujours pas. Alors elle rampe. Tu t’en amuses. La suit dans sa lente progression, pose parfois ton pied sur elle et appuie, lui tirant des gémissements de douleur. Puis tu la laisses continuer.

Tu viens enfin t’asseoir à mes côtés. Tu te déshabilles. Tu me regardes. Ta main se pose sur mon sexe. Je trésaille, m’attendant à une nouvelle torture. Mais tu me caresses juste en me fixant des yeux. Je lis le désir dans ces derniers. Cela faisait longtemps que je n’avais lu une telle expression. Ma verge durcit dans ta main. Tu te lèves et va fermer le cadenas de la cage. Tu te rassoies à mes côtés et commence à me masturber à nouveau. Tu regardes Claire. Moi aussi. Elle se caresse. Puis se contorsionne pour nous montrer son entrejambe, sa poitrine. Elle se lèche le sein en se doigtant. Je sens alors tes lèvres sur mon sexe. Je manque de jouir. J’avais oublié combien tu suçais bien… Quand était-ce, la dernière fois ? Bah, peu importe ! Je soupire :
« – Merci, Maîtresse Milady… »
Tu te redresses, me masturbes à nouveau. Tu me donnes une claque sur les fesses et je m’attend à être de nouveau sodomisé. Mais tu te penches pour me sucer à nouveau. Enfin tu te redresses. Tu écartes les cuisses et ta chatte et me dis :
« – Tu sais, je suis très humide. C’est très excitant d’avoir deux esclaves aussi dociles que vous. »
Tu n’as pas besoin de me l’ordonner, je suis déjà penché sur toi, te fouillant, te léchant. Tu caresses mes cheveux. Tu demandes en souriant :
« – Elle a bon goût, ma mouille, hein, ma fiotte ? »
« – Oui, Maîtresse Milady, c’est le plus délicat des nectars. Je suis jaloux que votre chienne ait pu y goûter avant moi… »
« – C’est vrai, c’est injuste. Mais tu vas la rendre jalouse elle aussi… »
Tu me redresses en me tirant les cheveux. Tu m’embrasses et te place à califourchon sur moi. Claire hurle :
« – Non ! Maîtresse Milady ! C’est un sous-homme, une larve, une lopette ! Vous en pouvez le laisser vous prendre ainsi ! Donnez moi votre gode-ceinture, je vous prendrais mieux que lui ! »
Tu lui souris et dis d’un ton sec :
« – Ta gueule, sale chienne. Tu n’as pas d’ordres à me donner. »
Puis tu me laisses glisser en toi. Tu pousses un soupir de contentement :
« – François, comme j’avais envie que tu me baises à nouveau, si tu savais… »
Je ne répond pas. Les seuls sons qui emplissent la pièce sont ceux des tes fesses claquant sur mes cuisses, le bruit obscène de ta chatte humide aspirant mon membre, nos souffles courts. Et les plaintes de Claire. Plaintes d’être ainsi délaissée. Plaintes entrecoupées de gémissements alors qu’elle se stimule, excitée par le spectacle de notre étreinte. Claire qui m’aime tant qu’elle a fait tout ça. Et qu’elle trouve du plaisir à me regarder en prendre. Cette pensée me fait mal. Je suces ton tétons avec un peu trop de force et tu me réprimandes gentiment. Tu sais pourquoi j’ai fait ça, la cause de ma frustration. Mais tu savoures ta victoire. Ou peut-être est-ce une défaite ? Tu t’en fiches, c’est terriblement bon. Tu me serres contre toi et dis :
« – Tu n’as pas pas été très doué quand tu as pris Claire, ma lopette… »
« – Non, c’est vrai. Désolé, Maîtresse Milady ? »
« – Tu veux une deuxième chance… Avec moi ? Peut-être que je te stimulerai plus que cette trainée. C’est vrai que baiser une salope qui saute sur tout ce qui bouge, ce n’est pas très excitant… »
Et c’est toi qui dis ça… Et pourtant ton corps m’excite toujours autant. Malgré, ou à cause, de tout ces hommes… Je te souris :
« – Je saurais vous satisfaire, Maîtresse Milady ? »
Tu me retournes mon sourire :
« – Tu sais ce qui te différencie des autres, mon lapin ? »
« – Non, Maîtresse Milady. »
« – Tu me baises. MOI. Les autres ne baisent qu’une petite salope allumeuse. »
Tu m’embrasses. Je crois que je tombe amoureux. Ou peut-être l’ai toujours été. Amoureux de ta violence, ton insouciance, ton ingratitude, ton égoïsme. tout le contraire de Claire. Et pourtant je vous aime toutes les deux. Quand tu me présentes ton cul j’hésite à te prendre avec ma violence habituelle. Mais tu me souris et dis :
« – Tu sais que c’est comme ça que j’aime, mon goret… »
Je te prend alors avec l’énergie du désespoir. Je libère toutes la frustrations, la haine, la colère, le dégoût de moi. Et tu hurles ton plaisir. Tes cris se mêlent à mes râles et aux gémissements de désir de Claire…

—– Nadine —–

Nous sommes partis tous les deux au bureau. Sur la route, je vous tenais le bras. On aurait presque cru à un couple marié. Au bureau, Séverine était déjà là, fraîche et pimpante. Elle vous a aussitôt accaparé pour vous parler de vos rendez-vous de la journée. On avait un accord tacite, je vous laissais traiter vos affaires tranquillement durant la journée. Quand à Séverine, je me suis dit que son cul mériterait une bonne correction. Mais pour l’instant, elle était occupée et je me suis vautrée dans un fauteuil et je l’ai regardée s’activer.

Je me suis endormie à un moment. Je me suis réveillée et Séverine répondait au téléphone. Je suis partie faire un tour dans l’entreprise. Je ne savais pas trop quoi faire. Je suis passée à l’atelier pour dire bonjour à mon père. Ça n’a pas manqué, Antonio m’a invitée à déjeuner. Mon père m’a encouragée à y aller. Pour tout déjeuner, je n’ai eu que son pénis à lécher. Je m’en doutais. Il m’a emmené chez lui, un minable deux pièces en désordre. Il m’a balancée sur le lit. Il s’est jeté sur moi. Il s’est juste contenté d’enlever mon slip et de me prendre sans même me caresser une seule fois. Il s’est vite déchargé en moi. Puis j’ai dû le sucer jusqu’à ce qu’il reprenne de la vigueur. Il m’a retournée sur le ventre et m’a prise par derrière. Ce fut un peu plus long que la première fois.

« Je retourne au boulot, si tu peux faire un peu de ménage, ce sera bien ! »

Il est parti et je me suis retrouvée seule chez lui. Qu’est ce que je foutais là ? Je n’avais pas la réponse. Bêtement, je me suis retrouvée à ranger ses vêtements et j’ai commencé à faire la vaisselle quand j’ai reçu un SMS de Marc. Il me donnait rendez-vous dans un quart d’heure. J’ai tout laissé tomber et je l’ai rejoint.

Comme la première fois, il m’a emmenée chez lui, dans sa grande maison dans une lointaine banlieue cossue. IL n’y avait personne chez lui et nous avons fait l’amour dans son lit sous le regard de sa femme en photo. Ça devait être un fantasme. Il me baisait bien mais côté tendresse, ce n’était pas mieux qu’avec Antonio. Il me ramena même jusqu’à chez moi (chez vous) en me disant « A la prochaine, Jessy ! » Il me glissa même un billet de 10 euros dans le slip. Voilà tout ce que je valais à ses yeux.

Je suis entrée dans la maison. J’avais presque les larmes aux yeux. Je venais de me faire baiser par deux mecs qui me prenaient pour une petite pute de rien du tout. J’avais besoin de tendresse. J’ai vu Claire dans sa cage. Je l’ai fait sortir. Je me suis déshabillée. Nous nous sommes couchées toutes les deux dans le lit. Elle m’a caressée. J’ai répondu à ces caresses. Nous avons fait l’amour. Nous nous sommes léchées, embrassées et caressées. Elle me faisait vraiment l’amour comme je ne l’avais jamais fait. J’ai repris conscience et je la repoussais.

« Salope qu’est ce que tu fais, je ne suis pas une gouine moi !
– C’était pour vous faire plaisir Maîtresse Milady…
– A quoi joues-tu ?
– Je ne joue pas, je suis votre…
– Ta gueule, tu rois que je ne vois pas clair dans ton jeu ? Allez retourne dans ta cage ! »

Elle est retournée dans sa cage à coup de pied au derrière. J’ai refermé le verrou et j’ai caché la clé. J’ai pris une douche. je me suis séchée et j’ai mis des sous vêtements et une robe très sexy. Je me suis maquillée. J’ai préparée un repas et je vous ai attendue.

Quand vous êtes arrivé, vous avez bien entendu été surpris. Mais vous vous êtes laissé faire. Nous avons dîné en amoureux. J’en rajoutais. Claire dans sa cage était silencieuse. J’ai débarrassé la table et jeté quelques miettes dans la cage. Nous nous sommes mis au lit. Je vous ai entrepris, je vous ai fait frémir. Vous bandiez comme une bête. Je me suis empalée sur vous. J’ai hurlé de plaisir. Nous avons recommencé et recommencé. J’ai fini par m’écrouler et par dormir.

Proposée par Talis Cat

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