Jessy 13

—– Talis Cat —–

J’ai souri. Puis j’ai dis machinalement :
« – Il parait que vous baisez bien, mon cher Marc. C’est ce que m’ont dis Jessy et Séverine. »
Il s’est raidi. Sa femme l’a regardé et a demandé :

« – Qu’est-ce qu’il raconte ? »
« – Vous ne saviez pas ? Votre mari baise mes secrétaires. Entre autres. »
« – Ce n’est pas vrai ! Dis lui, Marc ! »
« – Bah, ce n’est pas grave. Vous baisez bien avec l’homme qui nettoie votre piscine… »
Elle a rougi, a ouvert la bouche mais n’a rien dit. Je les ait regardé avec un sourire. Puis, toujours machinalement j’ai dit :
« – Marc, faites moi une démonstration. »
« – Quoi ? »
« – Baisez votre femme. »
« – Vous êtes fou ! »
« – Vous préférez que j’appelle Séverine ? »
« – Je… Non… »
« – Alors baisez Alice, vite. »
Il l’a saisit parles épaules et l’a embrassé, a commencé à la caresser. Elle a voulu se libérer mais il l’a maintenu. Je me suis appuyé sur mon siège et j’ai dis :
« – Ne vous retenez pas, Marc, violez la. Déchirez ses vêtements. Ce sera ôté de votre facture… »
« – François… »
« – Ta gueule, et obéis. »
Sa femme l’a regardé, horrifiée. Mais il a obéi, a déchiré ses vêtements et l’a plaquée sur le bureau face à moi. Il a commencé à la pénétrer. Je l’ai regardé. J’ai soupiré comme si je m’ennuyais et j’ai dis :
« – Mieux que ça Marc. Ne me dites pas que c’est ça qui rend mes secrétaires folles de votre sexe. Et puis il me semble que vous préférez la sodomie… »
Alice a crié :
« – Non, non ! »
Mais Marc me connaissait. Il savait qu’il n’avait pas le choix. Il l’a fait. J’ai sorti ma queue, me masturbant doucement. Tu t’es assise à mes côtés, sur l’accoudoir et m’a caressé la verge en m’embrassant. Enfin j’ai dis :
« – Bien Marc. Mais je pense que vous n’enculez pas votre femme comme la salope qu’elle est. Son amant doit la ramoner bien mieux. »
Je me lève :
« – Je vais vous montrer. »
Je lui ai fait signe de s’écarter sans même lui adresser un regard. Et j’ai violemment déchiré l’anus de sa femme. Elle a hurlé. Je m’en fichais, le bureau était insonorisé. J’ai saisi sa tête et lui ai dit :
« – Tu vas lécher Jessy, ma petite Alice. »
« – Je ne suis pas une gouine ! »
« – Elle non plus. Elle aime juste qu’on lui lèche la chatte. »
Tu t’es installée sur le bureau, cuisses écartées. J’ai plaqué la tête d’Alice sur ton intimité. Elle rechignait encore. Je t’ai laissé faire. Tu as redressé sa tâte, lui a craché au visage puis l’a giflée :
« – Salope ! Tu vas me lécher et bien, d’accord ? Tes cris m’ont bien excitée alors maintenant tu finis ton boulot ! »
Elle s’est mise à pleurer. Mais elle a obéi. Je l’ai enculé plus fort, lui arrachant des cris étouffés par ta chatte. J’ai regardé Marc :
« – Ben alors ? Vous ne vous branlez pas ? Elle ne vous excite plus votre femme ? »
Il n’a rien répondu. J’ai appuyé sur l’interphone :
« – Séverine, venez sucer Marc, il n’a pas le moral. »
Séverine est arrivée. Elle était gênée, rougissante. Je lui ai souri. Elle a vu que Marc avait déjà la queue sortie. Ses yeux ont brillé de désir. Quelle salope ! Puis elle l’a sucé en se caressant les seins, la chatte. J’ai retourné Alice sur le dos et lui ai recouvert la poitrine et la gorge de foutre. J’ai dis :
« – Va sucer ton mari avec son amante. Fait toi juter à la gueule. Je parie que ça fait longtemps qu’il ne le fait plus, que tu n’attends que ça. »
J’ai regardé Séverine et Alice sucer ce petit con avec un sourire. Tu m’as masturbé en m’embrassant, j’étais déjà dur. Je t’ai prise. J’ai tourné la tête en entendant Marc pousser un râle, jutant sur ses deux compagnes. Je te baisais méthodiquement, tu m’enlaçais, je n’avais d’yeux que pour toi. J’ai dit distraitement :
« – C’est bon, tu peux t’en aller Marc. »
« – Bien… Viens Alice. »
« – Elle reste ici. Jusqu’à nouvel ordre elle sera ma pute. Et celle des employés que je lui désignerais. »
J’avais déjà un employé en tête…
« – François, non ! »
« – Ta gueule, barres-toi. »
Il est parti en claquant la porte, laissant Alice agenouillée, en pleurs. Séverine a regardé Marc partir puis est venue consoler Alice. J’ai ricané :
« – Tu baises son mari et maintenant tu fais la gentille ? Vas faire ton boulot Séverine, je t’appellerai si Alice ne me suce pas assez bien. »
Je te limai toujours la chatte, délicatement, caressant tes seins. Tu m’as embrassé et a murmuré :
« – Merci, ma lopette. »
Je t’ai souri puis t’ai retourné pour t’enculer…

Plus tard dans la journée, alors qu’Alice était glissée sous mon bureau pur me sucer la bite j’ai téléphoné à l’atelier :
« – Passez moi Antonio. »
« – Allô ? »
« – C’est le patron. Bon, je sais que tu baises une de mes secrétaires, la stagiaire. »
« – Ouais, et alors ? »
« – Et alors j’ai des infos pour toi. »
« – Ah ? »
« – Oui. Tu sais quand tu la frappes et que tu la forces à baiser d’autres hommes… »
« – Oui ? »
« – Et bien elle adore. »
« – On dirait pas, elle rechigne. »
« – C’est parce qu’elle veut que vous soyez plus violent. »
« – Ah ok. »
« – Bon je vais te filer un tuyau pour ce soir. tu vas contacter un de mes amis. »
« – J’ai déjà assez de potes pour la faire baiser. »
« – Je doutes qu’il ait des chevaux et des chiens de races. »
« – Elle aime ça aussi ? »
« – Elle n’ose pas mais elle en rêve. »
« – C’est quoi le traquenard. »
« – Pas de traquenard. »
Je jette un oeil à Alice. Je presse sa tête contre mon aine alors que j’éjacule dans sa bouche. Je dis alors :
« – Je vais te prouver ma bonne foi : Tu vas avoir le droit à la visite d’une de mes amies avide de bite comme la tienne. »
« – Vraiment ? »
« – Oui, ça rendra Jessy jalouse. »
« – Bonne idée. »
« – Bon je t’envoie la petite Jessy, mon amie viendra chez toi avec l’adresse du gars. Baises la bien, elle aussi, elle aime qu’on la rudoie. »
Je raccroche. Puis je souris à Alice :
« – J’ai un travail pour toi… »
Elle me supplie du regard. Mais je me contente de caresser son beau visage et de lui dire :
« – Mais d’abord tu vas me faire durcir et m’offrir ton cul. »

En fin de journée je me suis arrangé pour t’envoyer à l’atelier. Je savais que tu irais voir Antonio. Et si tu n’y allais pas j’avais contacté deux trois autres ouvriers pour t’amener à lui, de gré ou de force… Soit-disant sur ordre d’Antonio, bien sur !

—– Nadine —–

Elle avait bien dégusté, cette salope d’Alice. Son mari m’avait prise pour une moins que rien. Vous lui aviez mis le paquet. J’espère qu’elle s’en souviendra. Mais quel salaud ce Marc. Il n’a pas hésité à balancer sa femme pour s’en sortir lui. Il me débecte. Il baisait bien mais il me débecte quand même.

Je me sentais en forme. Vous m’avez donné un papier à aller porter à l’atelier. J’avais le temps, j’ai traîné en parlant avec plusieurs personnes qui m’ont trouvée en forme. J’ai fini par rencontrer Antonio. C’était le début du week-end et il m’a demandé de passer chez lui. Je me suis dit que c’était au bon moyen de mettre les choses au point. On est donc rentré chez lui. Il m’a tout de suite emmené au lit et nous avons fait l’amour. Il a pris soin de moi. C’était très bien. Après, je n’ai pas échappé à la séance de ménage. Je me suis dit que ça valait la peine si après on recommençait.

Ça a sonné à la porte, alors que je finissais la vaisselle qu’Antonio n’avait pas faite depuis la dernière fois que j’étais venue. A ma grande surprise, je vis Alice entrer dans le studio.

« Mais qu’est ce qu’elle fait là, celle là ?
– T’occupe Jessy, retourne faire la vaisselle et quand t’auras fini ramène nous à boire… »

Rageusement, j’ai fini la vaisselle et je suis revenue avec deux bouteilles et trois verres. Alice s’était fait une beauté. Elle portait une mini jupe et son décolleté laissait deviner son soutien-gorge rose. Elle faisait un véritable numéro de charme. Antonio ne savait plus où se mettre. Il lui a servi un verre et pas à moi. Il s’est approché d’elle et je suis restée debout.

« Elle va rester longtemps cette pétasse ? Tu la connais d’où d’abord ?
– Jessy ne parle pas comme ça de mes invités !
– Mais tu vois pas quel te fais du plat…
– Jessy tu m’énerves, fermes là ! Retourne dans la cuisine. »

Comme une conne, je suis retournée dans la cuisine. Antonio est venue me chercher :
« On va passer le week-end à la campagne, chez un ami d’Alice. Elle est vraiment super cette fille ! »

Je n’avais pas mon mot à dire. On a pris la voiture d’Alice. Elle conduisait. Antonio était à côté et moi derrière, à l’étroit. Nous avons roulé plus d’une heure avant d’arriver devant une grande maison au milieu d’un parc avec des dépendances. Nous sommes sortis de la voiture. Un homme d’une cinquantaine d’années nous a accueillis. Nous sommes entrés. Il nous a accompagnés dans un grand salon. Il y avait une épaisse moquette et une cheminée. Je me serais cru dans un film. Ce fut un film d’horreur tout le week-end.

Toute la soirée du vendredi, Antonio et l’homme m’obligèrent à avoir des relations avec plusieurs chiens que des gardes champêtres emmenaient et ramenaient. Alice les encourageait en pouffant de rire, en applaudissant, en s’esclaffant. L’homme s’appelait Monsieur Duriez. Au début, je ne voulais pas. Antonio me prit dans un coin et me secoua jusqu’à ce que je dise oui. La fois suivante, c’est Monsieur Duriez qui me parla d’une manière si autoritaire que je n’ai plus osé rien dire. Je me suis rappelée que je vous avez demandé de faire à Claire ce que je subissais et maintenant c’était à mon tour d’y passer.

Je n’avais jamais vu de sexe de chien de si près. Le premier était un gros chien gris. Antonio m’a tenu à genoux et Monsieur Duriez a placé le chien devant moi, ses fesses à la hauteur de mon visage. Il retourna le sexe du chien vers moi. Il était gros, rond, rouge et ça me dégoûtait. Je l’ai sucé du bout de la langue. Monsieur Duriez me força à en faire plus. J’ai eu du mal à le mettre dans ma bouche. Je donnais des petits coups de langue par ci par et j’ai fini par le prendre complètement dans ma bouche. Juste le bout mais je me suis suffisamment excitée dessus pour que le chien jouisse. J’ai vomis. Alice m’emmena dans une salle de bain. Elle m’a mise nue et s’est moquée de moi d’une manière très perverse.

Quand nous sommes revenues, il y avait un gros chien noir dans la pièce. Alice m’a allongée sur la moquette. Elle m’a tenue par les épaules et Monsieur Duriez m’a demandé d’écarter les cuisses. Le gros chien noir est aussitôt venu entre mes cuisses et il a léché mon sexe. Je sentais sa langue énorme et mouillée ouvrir mon vagin. Alice me caressa avec ses doigts. Elle écrasa un petit four entre mes cuisses. Les coups de langue du chien sont alors devenus frénétiques. Alice essaya de retourner rapidement le chien mais il éjacula aussitôt. Elle sembla déçue. Monsieur Duriez la calma en lui disant, que la soirée ne faisait que commencer.

Le gros chien noir fut remplacé par un autre gros chien noir. Et cette fois, Monsieur Duriez prit lui-même les chose mains. Il retourna le chien qui, très docilement, se laissait faire. Il a pris son sexe à la base sous les testicules. Il le gonfla et m’expliqua très précisément chaque geste que je devais faire avec ma langue. J’avais beau grimacer et hocher la tête, il insistait et je finissais par bien faire ce qu’il me demandait. Je me sentais minable. Je voyais Alice qui se collait à Antonio.

C’est un dalmatien qui m’a prise le premier. Je connaissais cette race depuis mon enfance grâce au film. J’étais à quatre pattes. Alice et Monsieur Duriez ont aidé le chien pour qu’il puisse s’accoupler avec moi. La soirée était bien avancée, j’étais complètement accablée et je me laissais faire même quand ils ont fait mettre le sexe du chien dans mon anus. Il y a eu encore quelques autres chiens.

J’ai été enfermée dans une cage du chenil. Les chiens que je venais de connaître étaient là aussi dans des cages proches de la mienne. Je suis restée là tout le restant de la nuit, la journée suivante et encore une nuit. Je n’ai vu personne si ce n’est qu’un homme qui est passé deux fois pour donner à manger et à boire aux chiens. Il me donna la même chose mais je n’ai touché à rien. Je suis restée prostrée tout le temps. Je ne parvenais pas à comprendre ce qui m’était arrivée. Je ne savais pas ce qu’étaient devenus Antonio, ni Alice, ni personne.

Je pensais en avoir vu pas mal. Je pensais que ce serait fini mais je me trompais. Vers l’après-midi, Monsieur Duriez et un autre homme dans le même genre sont venus me chercher. Ils m’ont traînée nue à travers le chenil et la cour. Nous sommes entrés dans l’écurie. Et ce qui s’était passé avec les chiens la veille, s’est passé à nouveau. Mais cette fois, ce fut avec deux chevaux.

Monsieur Duriez et son ami, m’ont plaqué contre la croupe du cheval. Il était plus grand que moi. Ils m’ont forcée à le caresser puis à me pencher et j’ai vu alors son sexe. Il était énorme, long et le bout aplati. Ils m’ont forcé à me pencher et à toucher ce sexe avec la main, avec les seins et les fesses. Comme je ne voulais pas, ils ont fait appel à deux gardes qui m’ont tenue pendant qu’ils m’obligeaient à me coller contre le sexe du cheval. Je me suis retrouvée accroupie sous le cheval. J’ai dû le masturber. Je l’ai fait maladroitement d’une main. J’ai mis le bout du sexe contre ma bouche. Le cheval s’est cambré. Un des gardes l’a calmé.

J’ai eu droit au deuxième cheval. Son sexe était encore plus gros et j’y ai eu le droit dans la bouche et dans le vagin. En 24 heures, j’avais était prise par des chiens et un cheval. J’étais humiliée comme je ne l’avais jamais été. Mon humiliation fut complète avec mon retour.

Alice m’attendait dans le salon où nous étions arrivés le premier soir. Elle tenait les vêtements que je portais. Je me suis habillée. Elle me raccompagna dans a voiture.

« Tu sais Jessy, que tu te tapes mon mari, je m’en fiche un peu. Il se tape toutes les petites greluches de ton genre. Ça me donne aussi un peu de liberté. Mais c’est le père de mes enfants et je n’aime pas qu’on lui fasse du mal. François Du Castel semble lui en vouloir et t’en vouloir aussi. Je ne comprends pas très bien quel jeu, il joue.

Antonio, non plus d’ailleurs. C’est qui ce mec pour toi ? C’est un vrai con. Dire qu’il a voulu me sauter ! Je l’ai bien remis à sa place. Tu sors avec lui ? Tu vis avec lui ?

Et Du Castel dans ta vie ? C’est lui qui m’a dit te t’emmener chez Duriez. Qu’est ce que tu lui a fait ? Il m’a demandé en plus de te déposer chez lui. Il est sadique ou maso ce mec ?»

Je ne répondais pas mais j’aurai pu dire que vous étiez les deux. Alice insupportait. Elle ne se prenait vraiment pas pour une merde. Je me suis jurée de me venger un jour. Mais pour l’instant, la vengeance était pour vous. Comment aviez-vous pu me faire une telle chose. Je ne cherchais même pas à savoir si Alice m’a dit la vérité.

Quand je suis arrivée chez vous, le dimanche se terminait tranquillement. Claire et vous étiez vautrés sur le divan.

« Foutez vous à poil tous les deux et magnez-vous le cul, je ne rigole pas ! Toi la garce tu te mets debout les mains sur la tête et tu ne bouges pas. Toi la lopette, avance par ici que je t’attache ! »

Vous avez obéi. Je vous ai attaché les mains avec la corde qui pendait au dessus de la poutre. J’ai tiré. Comme Claire l’autre jour, vous touchiez à peine le sol avec vos pieds. Votre corps nu était tout tendu.

« Elle est toute petite ta bite, mon amour. Tu veux que je te raconte ce qui m’est arrivée ce week-end ? C’est sûr que ça peut te faire bander. Mais tu banderas pas tout de suite ma lopette…»

J’ai pris vos testicules en plein dans ma main et j’ai pressé.

Proposée par Talis Cat

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