Jessy 14

—– Talis Cat —–

Tu t’es rapidement déchaînée sur moi. Tu m’as fouetté sur tout le corps, insistant sur mes parties génitales. Tu m’as détaché et je suis tombé au sol, mes muscles trop endoloris pour maintenir mon corps. Tu m’as roué de coups, me flagellant à nouveau. Tu m’a écrasé rageusement la verge puis les testicules.

J’ai hurlé. Puis tu m’as forcé à te lécher, m’invectivant, me disant que je ne te léchait pas assez bien, que tu prenais plus de plaisir en te frottant la chatte sur l’accoudoir de ton siège au boulot. Tout cela m’excitait et tu t’en es rapidement rendu compte, cela t’as exaspéré. Tu m’as donné un grand coup de pied dans les testicules pour me faire débander. Puis tu as hurlé :
« – Tu crois que je vais te laisser prendre ton pied ? Attends, je vais te faire vivre l’enfer que j’ai vécu ! »
Tu es allé chercher les chiens. Tu m’as fait sucer le premier. Puis tu as amené le deuxième près de moi et il m’a enculé. C’était l’extase pour moi. Pas de me faire prendre par des chiens. Mais de te servir de défouloir, de sentir ta rage se déverser sur moi. Tu as fouetté Claire sans grande conviction. Elle n’a rien dit, n’a pas bougé. Elle avait mal pour moi mais je ne ressentais que le plaisir alors que la verge du chien me défonçait. J’ai senti le sperme couler dans ma gorge et je l’ai avalé goulument, sans même que tu l’ordonnes. J’ai continué à lécher le chien, espérant le garder dur. L’autre chien ne s’était pas encore fini. Tu t’es avachie sur le canapé. Tu m’as regardé puis tu t’es mise à pleuré et m’a laissé avec les chiens pour aller te coucher.

Le lendemain j’étais fourbu mais heureux. Tu avais l’air d’un zombie. Je t’ai appelé pour te demander de passer à l’atelier. Je comptais sur Antonio pour s’occuper de toi, j’étais sur qu’il trouverais de nouvelles manières de t’humilier… Tu t’es approchée de moi et t’es accroupie à mes côtés. Puis tu as pleuré en te serrant contre moi :
« – François, arrête ce jeu… »
« – Tu n’aimes plus que je sois ta lopette ? »
Ta voix est lasse :
« – Si. Mais tu essaies de me faire du mal pour que je sois plus méchante… Je croyais que tu étais ma larve obéissante… »
« – C’est Alice qui t’a raconté ? »
« – Oui. »
« – Quelle salope. Elle devait juste se faire baiser par Antonio. »
« – Il ne m’a même pas touché. C’est tout juste si elle ne lui a pas demandé de venir sucer les chevaux avec moi… »
Ca m’a étonné. J’ai réfléchi. Enfin j’ai dit :
« – Dis-moi, ce qui te dérange c’est de ne pas savoir quand je suis le maître et quand c’est toi ? »
« – Entre autre… »
« – Bien, j’ai une petite idée… »

Plus tard dans la journée j’ai appelé Marc et sa salope de femme. Je lui ai dis :
« – J’ai une proposition à vous faire. »
« – Qu’est-ce que vous allez encore exiger de moi, vieux salopard ? »
« – Oh, rien de très grave… Il faut juste signer ce papier et j’oublie votre dette. »
Il a été étonné :
« – Vraiment ? Que dis ce papier ? »
« – Que vous laisserez Alice divorcer si elle veut. Et que vous vous occuperez de vos gosses. Et que vous n’exigerez pas de pension alimentaire. »
« – C’est tout ? Et si Alice ne souhaite pas divorcer ? »
« – Et bien ce papier ne vaudra rien ! »
Il m’a regardé d’un air suspicieux. Il a lu et relu le papier. Enfin il a pris un stylo m’a regardé et a demandé :
« – Après je ne vous devrais plus rien ? »
J’ai hoché la tête. Il m’a fixé longuement puis il a signé en soupirant. Enfin il m’a jeté la feuille puis s’est dirigé vers la porte en tirant sa femme par le bras. J’ai dis :
« – Alice reste ici. »
« – Elle n’y est nullement forcé ! »
« – Non. Mais je suis sur qu’elle va aimer ma proposition. »
Ses yeux sont devenus deux fentes. Mais Alice s’est dégagée et lui a fait signe de partir devant. Elle s’est assise face à moi, ses jambes croisées révélaient à dessein sa culotte qu’elle savait maintenant hors de ma portée…

Je l’ai regardé et j’ai dit enfin :
« – Jessy m’a raconté comment vous vous étiez comporté avec Antonio : très impressionnant je dois dire ! »
« – Et ? »
« – Et j’ai justement besoin d’une Maîtresse pour moi… Et Jessy. »
« – J’ai déjà un amant. »
« – Je parle d’une Maîtresse avec un grand M… »
Elle s’est mise à l’aise dans son siège. Comme je le pensais elle était très intéressée… J’ai continué :
« – Quittez ce crétin et venez vous installer chez moi. Vous serez la reine. Même Claire sera à votre disposition. »
« – Claire ? Votre ancienne secrétaire ? »
« – Oui. Elle est devenue la chienne de Jessy par amour pour moi. »
Elle a éclaté de rire :
« – J’ai toujours pensé que c’était une petite conne sans envergure ! Et Séverine ? »
« – Pour l’instant elle se contente de satisfaire mes envies et celle de Jessy au boulot… Et celle de votre mari en dehors. »
« – Mais cela peut changer… »
Je souris :
« – Probablement. »
Elle reste pensive. Enfin elle se lève et dit :
« – Je comprends mieux la raison de ce papier… »
« – Et oui. J’ai tout de suite compris que vous étiez celle dont nous avions besoin. »
« – Oui… Je suis enfin libre. Et j’ai même un petit chien à ma disposition. »
« – Et deux chiennes… au moins. »
Elle arbore un grand sourire :
« – Et deux chiennes, c’est vrai. »
Elle me regarde :
« – On va tester tout ça. Tu as un gode-ceinture, tapette ? »
« – Bien sûr, Maîtresse ! »
« – C’est bien. »
Je le sors du tiroir et lui tend. Elle me lance un regard de dégoût :
« – Pour qui me prends-tu ? Je ne t’accorderai jamais ce plaisir. »
« – Oui, excusez-moi, Maîtresse. J’appelle Jessy. »
« – Non. »
Je suis interloqué. Elle poursuit :
« – Appelle Séverine. »
Je souris à nouveau :
« – Bien sûr. »

J’appelle Séverine. Elle est surprise quand je lui tend le gode-ceinture. Alice lui dit de l’enfiler. Elle veut se déshabiller mais Alice lui demande de rester habiller, lui expliquant qu’elle souhaite que nous restions le plus possible habillés. Tout cela afin que l’on voit bien que j’étais le patron qui se faisait enculer par sa secrétaire. Ca l’excitait. Elle nous a regardé. Puis elle t’a appelé. Le spectacle t’as surprise. Tu as commencé à dire :
« – C’est quoi ce bordel ? Qu’est-ce que cette pute fait sur ton siège, François ? »
Alice s’est dressé et a hurlé :
« – Ta gueule, petite pute ! Tu es mienne maintenant ! Déshabille-toi et viens immédiatement me lécher ! »
Le ton d’Alice t’a pétrifié. Tu m’as regardé. Puis tu as obéis, te disant que je t’expliquerai tout ceci plus tard. Tu t’es retrouvée à quatre pattes sous la table, ton joli cul et ta fente offerte à mon regard. Alice a dit :
« – C’est bien… Tu mérites une récompense. Séverine, viens l’enculer elle aussi. »
Séverine a obéi. Elle savait bien faire ça. Pas étonnant que Marc l’apprécie autant. Je suis resté agenouillé à regarder. Alice poussait de petit gémissement et le bruit des cuisses de Séverine sur ton cul m’excitait. Je me suis mis à bander. Alice s’est levée d’un coup. Ta tête à cogné sur la table mais elle t’a ignoré. Elle a crié :
« – Je ne t’ai pas autorisé à bander, lopette ! Ramollis immédiatement ! »
Je m’y suis efforcé, sans succès. Elle est venu vers moi, m’a flanqué une gifle puis s’est agenouillée pour m’écraser les couilles. Enfin j’ai débandé. Elle a regardé sa main avec dégoût :
« – J’ai été obligé de te toucher, sale déchet ! »
Elle m’a giflé à nouveau. J’ai gémis :
« – Pardon, Maîtresse… »
Elle a demandé à Séverine de lui lécher la paume pour la nettoyer. Puis elle lui a fait sucer ses doigts, un par un. La chienne était au ange, elle t’enculait toujours. Alice s’est rassise. Tu n’as pas réagi alors elle t’a donné un coup de genou dans la mâchoire, ta tête à a nouveau cogné le dessous de la table :
« – Lèches moi, petite pute ! »
Cela à duré un petite peu. Puis elle a congédié Séverine. Elle m’a regardé et a dit :
« – Tu vas enculer ma chienne, petite larve. »
J’étais très excité. J’ai tout de suite bandé. Une douleur vive à la cuisse alors qu’Alice, enragée me lance un coupe papier en criant :
« – Je ne t’ai pas demandé de bander, espèce d’impuissant ! Ta queue ne sers à rien, entends-tu ? »
J’ai retiré le coupe-papier de ma cuisse en bafouillant :
« – Mais… Vous m’avez demandé de l’enculer, Maîtresse… »
Elle m’a lancé le gode-ceinture :
« – Avec ça, crétin. Et que je ne te reprennes plus à vouloir nous montrer ta bite de gamin ! »
Alice a alors savouré ma frustration alors que je me retenais de bander en t’enculant. Elle t’a aussi insulté à nouveau pour que tu la lèche mieux. Enfin elle nous a tout deux congédier de mon propre bureau. On s’est rhabillé dans le secrétariat. J’avais la cuisse en sang et toi très mal au crane de t’être taper la tête sous le bureau. Mal au cul aussi.

Le soir nous sommes rentré ensemble. Tu es restée silencieuse blottie contre moi. Arrivée à la maison tu m’as dis :
« – Viens, François. Viens me faire l’amour. »
« – Bien, Maîtresse Milady. »
« – Appelle-moi Jessy dans ces cas là, s’il te plait. »
Je t’ai caressé la joue et t’ai embrassé tendrement :
« – D’accord Jessy. »
Nous avons commencé à monter l’escalier. J’ai alors dis, sans même y penser :
« – J’ai envie de t’attacher ce soir. Et de te fouetter. Et de te prendre violemment. »
Ta réponse m’a surprise :
« – Moi aussi… Maître Marc. »
Me faire appelé du nom de ce petit con qui te donnais tant de plaisir m’a excité encore plus que d’être appelé Maître. Je t’ai souris :
« – Je vais t’enculer bien fort, salope, tu vas souffrir. »
« – Merci, Maître Marc. »
Tu as regardé Claire :
« – Voulez-vous que nous vous donnions du plaisir toutes les deux ? »
« – Non, petite pute, tu seras largement suffisante. Tu sais si bien baiser. Après tout c’est tout ce que tu sais faire ! »
Tu as rougis de plaisir :
« – Merci, Maître Marc. »
Puis tu t’es agenouillée et m’a sucé dans l’escalier. Ta position devait te faire mal aux genoux et cette pensée m’a encore plus excité. J’ai murmuré :
« – Brave petite salope. »
Tu m’as regardé et m’as dit en me branlant :
« – Finalement notre couple ne marche pas si mal… As-t’on vraiment besoin d’Alice ? »
J’ai froncé les sourcils :
« – Que veux-tu dire ? »
« – Et bien… On pourrait la laisser faire ce qu’elle veut. Elle va se séparer de Marc. Séverine s’empressera de prendre sa place. Et quand elle pensera devenir la Maîtresse de cette maison… On laissera Claire la foutre dehors avec perte et fracas. »
Je te souris alors que tu continues à me regarder en me suçant à nouveau :
« – Tu es vraiment un perverse… »
Tu me suces plus fort. Je pousse un râle et dit :
« – On pourra même la laisser rester ici… A condition d’être une vraie chienne, la briser. Ce sera elle qui occupera la cage… »
Tes yeux luisent. Ta langue s’active. Je n’y tiens plus. Je te relève t’embrasse passionnément puis dis :
« – Tu m’as trop excitée, vide-couille. On va direct dans la chambre et je te défonce le cul. Je t’attacherai après, la nuit va être longue. »
Tu me regardes avec un regard de chienne en chaleur, m’embrasses et dit :
« – A vos ordres, Maître Marc. Tout ce qu’il vous plaira. »
Je lance un machinal ‘Bonne nuit, Claire’ sans même la regarder puis je te porte jusqu’à la chambre et te jette sur le lit. Tu me présentes ton cul en bonne soumise et je te prend.

Oui, décidément, je pense qu’on arrivera bientôt à se passer d’Alice ou d’Antonio. Un nouveau personnage fictif venait d’être créé ce soir et notre relation s’enrichissait de multiples options : dominant, dominé ou même couple normal. Il manque juste un homme de plus. Surtout si on arrive à briser Alice. Je passe les options en revue en t’enculant. Tu cries sans discontinuer. Marc ? Non, il me débecte. Antonio ? Trop con. Justin ? Pourquoi pas. Mais il s’est fait distant. Ben ? Ca pourrait être marrant d’avoir un petit jeune perdu au milieu de nos jeux pervers. Mais il serait probablement vitre dépassé… Quoique, tu as bien réussi à t’adapter. J’ai même pensé à ton père à un moment. J’ai rigolé. Tu m’as demandé pourquoi entre deux cris. Je me suis contenté de répondre :
« – Ta gueule, sale pute. Tu n’es qu’un cul cette nuit, souviens t-en. »
Tu as adoré et gémis de plus bel…

—– Nadine —–

Notre projet est vite tombé à l’eau. Alice s’était bien installée chez nous mais elle avait très vite pris un ascendant tel que nous étions pris à notre propre piège.

Elle avait rapidement divorcée de Marc lui laissant la maison et les enfants. Elle s’était installée chez nous. Elle était devenue notre Maîtresse : à vous, à moi, à Claire. Nous étions son troupeau de petites merdes. Séverine nous a rejoint au cours de nos soirées. Nous attendions à quatre pattes, le visage baissé. Nous regardions le sol. Nous attendions le bon vouloir de notre Maîtresse. Des fois, il ne se passait rien et nous restions ainsi des heures pendant qu’Alice regardait la télé ou faisait l’amour avec l’un de ses amants. D’autres soirs, surtout quand elle était seule avec nous, elle nous montrait tous ses talents. Elle était très vicieuse avec vous et très perverses avec Claire et moi, surtout moi.

Séverine, comme à son habitude, était très serviable. Elle allait au devant des désirs d’Alice. Quand elle le lui demandait, elle n’hésitait pas à nous fouetter, à nous enculer ou à nous attacher. Elle préparait aussi nos gamelles et les plateaux repas d’Alice. Petit à petit, elle n’est plus venue à ces soirées. Nous avons appris qu’elle s’était mise en ménage avec Antonio. Je me suis dit que ça lui irait bien. Ce fut aussi la dernière chose de l’extérieur que nous avons appris.

Alice nous avait attachés dans une pièce. Nous y passions toutes nos journées. Nous étions nus. Elle avait confisqué tous nos effets personnels. Nous étions attachés chacun séparément ou par deux, selon le désir d’Alice. Vous n’aviez même plus le droit d’aller à votre travail. On mangeait ce que Alice avait décidé de nous donner à manger et quand elle le voulait. Elle piétinait nos aliments, elle y urinait, elle les mélangeait avec des excréments. Des fois, nous n’avions rien mangé depuis des jours, alors on mangeait. Nous étions sales aussi. Nous avions rarement le droit de nous laver. Quand on pouvait le faire, c’était parce qu’Alice avait inventer un nouveau jeu.

Claire ne supportait plus du tout cette vie. Elle conjurait Alice d’y mettre fin. Mais celle-ci restait sourde et, au contraire, la punissait sévèrement ensuite. Nous avons ainsi passé des semaines coupés du reste du monde. Claire disparut à son tour. Nous n’étions plus que tous les deux. Quand nous étions seuls, on essayait de réfléchir au moyen de nous en sentir et tout ce qu’on ferait à cette Alice. Des fois, nous passions la journée attachés l’un contre l’autre. On arrivait à se donner du plaisir malgré touts nos tracas. Quand Alice s’en apercevait, ça la fâchait.

Rarement, Alice nous exhibait devant ses amants. Elle nous obligea, une fois, de faire l’amour devant eux. L’autre jour, elle était accompagnée d’un jeune homme noir. Il nous fixa dans les yeux d’un regard haineux et il nous a giflé, l’un après l’autre. Le lendemain, on l’a imaginé en Maître comme on le voulait avant qu’on ne tombe dans ce piège. On ne le revit plus jamais. Alice avait dû s’abonner aux hommes de couleurs. Elle revint nous voir avec un homme noir plus âgé que le premier. Il me regarda longuement et me caressa un sein avant de partir avec Alice.

Le lendemain, il revint tout seul. C’était durant la journée. Alice avait dû s’absenter. Il m’a détachée et me fait mettre à genoux devant son sexe, gros, grand, tendu. Je savais ce que je devais faire et je l’ai fait. Cela faisait longtemps que je ne suçais que des sexes d’hommes en plastique. Le lendemain, il revient et la même scène a recommencé. Le troisième jour, il m’a aussi fait lécher soin anus et je l’ai fait. Il repartait sans rien dire mais après m’avoir regardé longuement. Il vous ignorait complètement.

« François ! Et si c’était notre chance de nous en sortir. Veux-tu que je lui propose de coucher avec lui s’il nous aide à sortir d’ici ? »

Proposée par Talis Cat

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