Tout avait commencé par un mec qui voulait s’amuser avec sa copine…
—– Talis Cat —–
« – Je t’ai dis de m’appeler François. »
« – Euh oui, désolée. »
« – Alors, tu as eu mon message ? »
« – Oui. »
« – Bien. Tu sais comment on appelle les filles qui sucent après une journée comme celle-ci ? »
« – Euh, non. »
« – Des putes. Tu es une pute Jessy. Mais pas n’importe laquelle. Tu es ma pute. Ca te plais hein ? »
« – … »
« – Bah, peu importe, tu t’y feras… Bon dis moi plutôt : tu as l’air de l’avoir aimée ma verge, n’est-ce pas ? »
« – … »
« – Réponds ! »
Tu ne peux le nier. Peut-être était-ce l’alcool, ou le fait que je sois le patron de ton père, mais tu as aimé me sucer. Et tu as très envie de me sentir ailleurs en toi…
« – Oui… Votre sexe goutait bon. »
« – Tu as envie de le sentir en toi ? En fait tu ferais même ça sans être payée ? »
« – Je… Peut-être… »
« – J’en étais sur, salope. Bon on se retrouve Samedi prochain même heure. On essaiera d’autres magasins cette fois-ci. »
« – Ok. »
Je raccroche, satisfait. Elle a déjà fait la moitié du chemin. Encore quelques rendez-vous et je pourrais même la proposer à des clients. Pour une fois que son père, ou plutôt sa famille, me servira à quelque chose…
Le Samedi suivant je t’attend au même endroit. Je ne m’embarrasse pas de détail : limousine avec chauffeur. J’ai des plans pour toi.
Tu es un peu étonnée et je te vois hésiter à t’approcher de la voiture. Mon chauffeur sort et t’interpelle :
« – Par ici, Mlle Chartier ! »
Tu es rouge pivoine en t’avançant vers la voiture. Je remarque que tu as mis la robe que je t’avais achetée. Umm… Tu la veux ma queue, hein petite ? Pense-je. Mon chauffeur t’ouvre la portière. Tu entres. Je suis assis à l’arrière une coupe de champagne à la main. Je t’en tends une :
« – Tu prendra bien un verre ? »
« – Euh, oui, merci. »
Nous buvons en silence puis ma main se pose sur ta cuisse. Je pose mon verre et prend le tiens, encore à moitié plein, et le dépose aussi. Je m’apprête à t’embrasser mais tu me repousses :
« – Non, laissez-moi ! »
« – C’est le conducteur qui te gênes ? Tu fais bien des manières pour une pute. Justin, la vitre ! »
La vitre électrique de séparation remonte. J’entreprends alors de caresser ton entrejambe. Tu écartes ma main et serres les jambes. Je m’emportes :
« – Tu vas te laisser faire, petite trainée ? Tu ne crois quand même pas que je fais ça pour tes beaux yeux ! »
« – Après. »
« – Comment ça, après ? Après quoi ? »
« – Je me fais payer et après vous me baisez. »
Je n’en reviens pas. Je m’apprête à te gifler mais ton regard déterminé m’arrête. Je dis :
« – Tu préfères que je montre tes photos ? »
« – Et vous préférez que tout le monde sache que vous vous payez des filles à peine majeures ? »
Ma main retombe. Je grommelle :
« – Bien, bien… C’est vrai. Tu es déjà une vraie pro. Tu as les réflexes d’une putain. »
Je dis ça pour essayer de te vexer mais je me sens humilier. Je me vengerai… Je comptai y aller en douceur mais je vais te ravager.
Avant que la voiture ne démarre j’entrevois ta culotte… Elle a l’air légèrement humide… Je ne comprends pas, si tu excitée pourquoi tu ne t’es pas laisser prendre ?
Nous arrivons au magasin de lingerie que j’avais choisi. La séance d’essayage commence sous l’œil réprobateur de la vendeuse. Mais elle ne dit mot. Je l’ai payé assez cher. Je fais exprès de n’être jamais satisfait. Je te rabroue et te fais prendre des poses indécentes. Cela t’amuse. Je suis encore plus énervé par ton attitude indolente. Enfin je trouves mon bonheur :
« – Parfait. Une vraie salope ! »
Je sens le regard noir de la vendeuse. Tu te mets alors de trois quart dos, te cambres bien, te mets sur la pointe de ton pied gauche et m’adresse un regard langoureux après avoir rejeté tes cheveux par dessus ton épaule. Je bande comme un taureau et cela se voit… Je me retiens de te sauter dessus. Tu sais que tu es en sécurité ici et tu en profites pour m’exciter plus que de raison. Tu adorerais me voir craquer et ruiner ma réputation pour ton joli cul, je le sens. Mais c’est moi qui commande, il faut que je me le rappelle :
« – Bien. C’est pas mal. Il va juste falloir trouver une autre robe plus sage, avec la tienne on va tout voir… »
« – Oh, et des chaussures aussi ! »
« – Hein ? Pourquoi des chaussures ? »
Tu m’adresses un regard coquin en te léchant les lèvres. Je ne vais pas tenir moi…
« – Euh, d’accord… »
Je m’empresse de payer et je te tire par le bras pour aller à la limousine. Je te jette presque à l’intérieur et referme la porte. Je saute sur toi en bataillant avec ma ceinture. Tu cries :
« – Non ! Pas maintenant ! »
Je m’arrête malgré moi :
« – Comment ça ? T’as eu ton paiement, non ? »
« – Pas la totalité. Et puis je veux pas faire ça dans une voiture ! On va à l’hôtel. Ou chez vous… »
Je n’en reviens pas… Mais tu te crois où ? Je ne tiendrais jamais jusqu’à chez moi. Bon alors l’hôtel. Même la je ne tiendrais pas. Surtout que cette conne va vouloir acheter sa robe et ses chaussures avant…
« – Justin, réservez une suite dans l’hôtel le plus proche. »
« – Bien, Monsieur. »
« – Je m’absente un moment, je ne serais pas long. »
Je retournes au magasin de lingerie. Je demande :
« – Où sont les toilettes ? »
« – Au fond du magasin, Monsieur. Mais ce sont des toilettes pour… »
Je ne l’écoutes pas. J’entre en trombe dans les toilettes et me masturbe sans même fermer la porte derrière moi. J’éjacule dans un râle. Elle devrait être en train de me sucer. Non, je devrais même la défoncer comme une pute. Et je suis en train de gâcher ma semence dans les toilettes d’un magasin ! Elle me le paiera !
Quand je reviens dans la voiture je suis d’une humeur massacrante. Je dis juste :
« – Démarrez, Justin. Le magasin de robes dont je vous avait parlé. »
Le reste de la journée est morose pour moi. Tu t’amuses à m’allumer mais tu te lasses vite devant mon manque de réaction. Tu en profites alors pour te faire plaisir en essayant toutes les robes que tu peux, en défilant devant le miroir. Je ne bronches même pas quand tu me dis que tu vas en acheter deux parce que tu n’arrives pas à te décider. Je sors simplement ma carte.
Enfin l’hôtel. Je reprend un peu de ma vigueur. Je vais te sauter, t’humilier comme la salope que tu es. Oui, tu vas la sentir passer ma bite !
« – Bon, j’ai une réputation tout de même. Alors je rentre seul, je t’envoie le numéro de chambre par SMS. »
Je claque la porte sans attendre ta réponse et me dirige vers l’hôtel. Peu de temps après je t’envoies un SMS : « Chambre 737. Sois une bonne pute et dépêches-toi. » Tu t’apprêtes à sortir mais avant tu fouilles ton sac et tends un billet de cinquante euros à Justin :
« – Tenez, c’est parce que vous avez été gentil. »
« – Mais, Mademoiselle, c’est beaucoup trop. Je veux dire, vous n’êtes pas riche… »
« – J’aime bien que vous disiez pas riche plutôt que pauvre, Justin. Vous êtes un brave gars. Prenez de toutes façons c’est pas à moi. Je lui ai piquée en l’allumant. Ce sera pour les fois où ils vous traitent comme un chien. »
« – Je… Merci. Mais, Mademoiselle, peut-être que vous ne devriez pas y aller… Il risque d’être méchant. »
Tu lui tapotes sur l’épaule :
« – Ne vous inquiétez pas, Monsieur. »
Tu rajoutes en riant :
« – Et puis je m’amuses bien, moi ! Ciao ! »
Tu entres et te diriges directement vers l’ascenseur. Personne n’a l’air offusqués de voir une très jeune fille en habit de soirée se balader ainsi seule. Ils doivent penser que tu es une fille de riche. Tu pouffes intérieurement.
Chambre 737. Tu toques à la porte. Pas de réponse. Tu insistes en appelant :
« – Monsieur François ? »
Un homme en peignoir ouvre la porte. Tu paniques à sa vue. Il n’a quand même pas invité des amis ? Pas déjà ? Tu es prise de court. L’homme demande d’une voix pâteuse :
« – Ouais ? »
« – Euh, je cherche, euh, François … »
« – Y’a pas de François ici. Votre client a du se tromper dans les numéro de chambre… »
La porte te claques au nez. Tu entends alors ma voix derrière moi :
« – Oh, désolé, j’ai du faire une erreur. Je ne t’ai pas mise mal à l’aise au moins ? »
Tu boues de rage mais ton calme apparent m’impressionne :
« – Non, non. C’est vrai que les gens de votre génération sont souvent mal à l’aise avec les claviers… »
« – Peti… Petite conne ! Tu te cr… »
Tu entres sans m’écouter. Tu regardes la suite. Tu pousses un sifflement :
« – Joli ! »
Tu te retournes. J’ai sorti mon sexe :
« – Bien, ma pute, passons au choses sérieuses. »
Tu t’accroupis nonchalamment, tuant d’un coup tout l’effet que je voulais mettre :
« – Vous avez des préservatifs ? »
« – Hein ? Non mais tu me prends pour qui ? »
« – Ah ben je suces pas sans préservatifs. Pareil pour les éjaculations. Juste sur le corps. Ni dans la bouche, ni sur le visage. »
« – Mais, mais… »
« – Bon, bien sur, la dernière fois je vous avais sucé sans préservatifs mais vous aviez payé beaucoup juste pour une fellation alors c’était normal d’offrir un extra. »
Je suis abasourdi. Mais tes doigts parviennent malgré tout à faire lentement dresser mon membre. Tu continues :
« – Bon moi j’ai amené les miens. Goût fraise. Non parce que votre queue était pas mal mais ça vaut pas la fraise malgré tout… »
Je me sens complétement humilié. Tu enfiles le préservatifs du bout des doigts et commences à me lécher. Je pousse un râle.
« – On aimes ça, mon cochon ? Attends la suite… »
Tu me prends en bouche et ta langue virevolte le long de ma hampe. Puis tu m’enfonce bien profond. Tu ressors am verge de ta bouche te me branle en me caressant les couilles :
« – Tu aimes, mon chéri ? »
« – Putain, oui… »
« – C’est bien alors… »
Tu me suces longuement. Je finis par reprendre mes esprits et me rappelle que j’étais censé te ravager. Vu la tournure des événements tu vas juste me sucer, avec un préservatif en plus…
« – Attends, salope… Je veux te niquer… Tu vas pas t’en sortir comme ça… »
Tu arrêtes de me sucer, me branles un peu, embrasses mon gland puis tu t’allonges sur le lit et écartes ta culotte en me montrant ta chatte :
« – Mais j’y compte bien mon beau, je t’avais dit que je voulais sentir ta verge en moi, non ? Mais d’abord tu vas bien me lécher, histoire que ça glisse bien… »
Tu as encore repris l’avantage. Mas tu n’auras pas ton cunnilingtus. Je vais te prendre direct. Je dégrafe ton porte jarretelle, enlève ta culotte. Tu dis :
« – Fais gaffe ! Tu vas abimer ma lingerie ! »
Je t’empales alors. Tu pousses un gémissement de plaisir. Ca glisse tout seul. Tu était déjà bien humide apparemment. Ce petit jeu à l’air de t’amuser, de t’exciter même. Tu murmures :
« – Umm, oui, vas-y. Prends moi sauvagement. J’aurai bien aimé un bon cunni mais te voir comme une bête fauve, toi le petit bourge, ça m’excite… »
Elle me couperait presque l’envie, la salope… Je sors tes seins de la guêpière et les suces avidement. Bon je vais essayer quelque chose :
« – Tu sais ce que c’est que le A-Level ? »
« – Euh, non. »
« – Ca veut dire que la pute accepte de se faire enculer. Parfois contre un supplément. A c’est pour anal… »
« – Ah. »
« – Ben là tu vois, tu vas me montrer qu’un pute accepte le A-Level sans problème, catin. »
« – Non. »
Je me fige en plein mouvement.
« – Non ?!? »
« – Ben moi je demanderais un supplément pour me faire défoncer le cul, tu vois. Et là, franchement t’as pas assuré. Pas de restos, rien que de la lingerie qui te plait surtout à toi une robe et des chaussures. Non vraiment je peux pas me laisser sodomiser dans ces conditions. »
« – Et il te faudrait quoi ? »
« – Ben déjà la totale. Je te sucerais sans préservatif et je te laisserais juter sur mon visage et dans ma bouche en plus. Et puis de joli bijou, un collier, des boucles d’oreille. »
Je continue à te prendre mais j’ai la tête ailleurs. Tu te dégage et te met à quatre patte face à moi. Tu te cambres. Tu me jettes un regard torride :
« – Ce cul vaut bien quelques bijoux, non ? »
« – Oh oui… »
Je pose mon gland sur ta rondelle et saisis tes hanches. Tu te dégages et te remets sur le dos :
« – Mais bon, ce sera pour une autre fois. »
Tu te suces les doigts et les enfoncent dans ton anus :
« – Dommage… Moi aussi j’avais envie… Penses-y la prochaine fois ! »
Puis tu écartes bien les jambes et ta chatte :
« – Mais, en attendant, on peut s’amuser autrement ! »
Je replonge en toi et te ramone comme un désespéré. Tu as l’air d’adorer. Je pétris tes seins. Tu me saisis la nuque et m’embrasse :
« – Tu t’y prends bien pour un vieux… »
Je ne dis rien et accentue mes mouvements. Enfin je sens que je vais venir. Je pousse quelques râles. Tu dis alors :
« – Attends ! J’ai envie de sentir ton sperme sur moi ! »
Je sors ma queue et tu t’empresses d’ôter le préservatif puis commence à me branler vigoureusement. De grand jet ne tarde pas à atterrir sur ton ventre et ton pubis. Certains atterrissent même sur tes seins.
« – Et bien ! Tu avais envie mon beau ! J’ai l’air de te faire de l’effet. Tiens je te fais un petit cadeau… »
Tu me suçotes le gland en extrayant quelques gouttes puis tu ramasses un peu de mon sperme et l’étales sur ta langue.
« – Tu aimes quand je fais ça ? »
« – Oh oui, ça m’excite… »
Tu étales machinalement mon jus sur tes tétons durci.
« – Bon, ben la prochaine fois tu feras ce qu’il faut je suis sure… »
Tu commences alors à te doigter vivement le cul et la chatte. Te caresser les seins et te lécher les doigts. Je te regarde :
« – Qu’est-ce que tu fais ? »
« – Ben tu m’as beaucoup excitée, mon beau, mais c’était pas l’extase non plus. Et moi je veux mon orgasme. Vas t’asseoir. Tu peux regarder c’est cadeau. »
Je reste debout, les bras ballants. Puis je me décide à m’asseoir. Tes gémissements et la vue de ton corps dénudé se trémoussant ne tarde pas à me faire bander à nouveau. Je me lève. Tu souffles entre deux râles de plaisir :
« – Désolé, mon beau, tu restes assis. Tu as eu ton tour. »
J’assiste impuissant et rageur au spectacle de ta jouissance. Tu restes quelques instants figée puis t’étires. Tu me dis :
« – Dormons un peu et tu me ramèneras, ok ? »
Je hoche de la tête. Elle me fais un signe :
« – Viens près de moi, je ne veux pas dormir seule… »
Je m’exécute. Mes doigts caressent ses seins. Puis je me dirige plus bas. Elle me tape sur les doigts :
« – Sois sage veux-tu ? »
Je rougis comme un enfant pris en faute :
« – Euh oui, désolé. »
« – Pas grave. Allez dodo, maintenant. »
Elle s’endort et je la regarde. Cette histoire prend une tournure bizarre… Il me prend l’envie de tout rétablir en la violant, là maintenant. Mais j’ai l’impression que ça ne résoudrait rien, bien au contraire. Alors je me contente de regarder ton corps en attendant ton réveil…
—– Nadine —–
Je ne dormais pas. Je vous tournais le dos. J’avais les yeux fermés. Je réfléchissais. Comment allais-je pouvoir me sortir du merdier où je m’étais mise…
Première solution : je lui dis merde tout de suite et je me tire comme j’en ai envie. Mais il serait bien capable de mettre sa menace à exécution et de placarder mes photos dans l’atelier de mon père. On ne me voit que moi, pas lui ! La honte ce serait pour moi et pour mon père. Non, je ne peux pas courir un tel risque.
Deuxième solution : me laisser faire… Mais jusqu’où ira-t-il ? Il va me baiser comme bon lui semble. Pour l’instant, il m’offre des robes mais après ? Il va continuer son chantage. Il me traite comme une pute et il va en vouloir de plus en plus. Je repense à ce que m’a dit votre chauffeur. Il ne manquerait plus que vous me tapiez dessus pour prendre votre pied. Ce serait un cauchemar !
Oh Ben, comme j’aimerai être là avec toi dans un lit, avec toi et pas avec ce gros porc. Oh Ben prends moi dans tes bras… C’est votre main que j’ai senti sur mon épaule. J’ai tressailli mais je n’ai pas bougé. Votre main est descendue lentement sur mon bras puis vous l’avez glissée sur ma hanche. Vous êtes arrivé jusqu’à ma fesse droite. Vous l’avez caressée. Vous étiez en train de vous appropriéer mon corps. Vous vous amusiez avec mon anus. Je ne voulais pas voir votre regard. Je ne bougeais pas.
Une troisième solution. Vite une troisième solution, sinon je vais me faire bouffer par vous. Quelle connerie la première fois que j’ai acceptée de vous voir. Vous avez mis de la salive sur votre doigt pour essayer de me le mettre dans l’anus. Vous avez écarté mes cuisses pour me caresser la chatte et constater que je mouillais. Je m’en voulais de mouiller ainsi mais c’était plus fort que moi. Dès que quelqu’un me triturer… Et pourtant, ils n’étaient pas nombreux à le faire. Non, je n’étais pas une pute.
Il y avait ces photos ! Comment ai-je pu me laisser aller ainsi. J’étais saoule, oui mais quand même. Les photos… Les photos… Les photos… Mais oui ; je l’avais ma troisième solution. J’ai ouvert les yeux et je me suis retournée vers vous en m’étirant.
« Je crois que je me suis un peu endormie. C’était bien François, c’était très bien. Tu m’as fait jouir. Et excuse moi pour mes bouderies de tout à l’heure. Tu sais, ça ne parait pas comme ça mais je suis très timide et puis toi tu es si sûr de toi… Il faudrait que je rentre maintenant… »
Vous vous êtes levé pour aller prendre une douche. Je me suis alors mise à quatre sur le lit. J’ai posé ma tête sur l’oreiller. J’ai écarté mes cuisses. Avec mes mains, j’ai écarté mes fesses. Je vous ai regardé.
« François attend. C’est pour toi tout ça, je te le promets. Pas ce soir, je ne suis pas prête mais tout ça c’est pour toi. Prends moi en photo, c’est mon gage pour toi. Oh François… François… François…. »
Vous avez pris votre téléphone. Vous l’avez mis en position appareil photo et vous avez pris une photo d’un air dégagé comme si je ne vous intéresse pas. Vous êtes entré dans la salle de bain. Je me suis levée et je me suis précipitais sur votre téléphone.
Vous êtes sorti de la salle de bain avec une serviette autour de la taille : « Alors Jessy tu n’es pas encore prête ? Tu vas te faire gronder par tes parents…
– Viens voir ce que j’ai reçu sur mon téléphone ! »
Vous vous êtes approché de moi pour regarder. Vous avez vu la photo que vous veniez de prendre. C’était vous qui me l’aviez envoyée. Il y avait un message « J’ai bien aimé t’enculer ma salope de Jessy. Tu viens de sauver le poste de ton père. François. »
Vous aviez l’air abattu.
« Un point partout, mon cher François. Tu peux bien placarder ma photo où tu veux, tu te rends bien compte de ce que je peux faire avec ce message, hein ? Détournement de mineure, menaces, etc.
– Que veux-tu ?
– Moi, rien, rien du tout, juste que tu ne me prennes pas une conne, d’accord ?
– D’accord !
– Mais que vas-tu faire maintenant ?
– Rentrer chez moi, seule, tu vas me payer le taxi, d’accord ?
– D’accord !
– Et puis après on verra. Disons que demain 14 heures, je me pointe chez toi et on discute, d’accord ?
– D’accord ! »
Proposée par Talis Cat