Jessy 4

—– Talis Cat —–

Bientôt quatorze heures. Je tourne comme un lion en cage. Tu vas comprendre, sale chienne. Aujourd’hui tu vas souffrir !
Tu arrives. Ta démarche est fière. Tu dis :

« – C’est joli chez vous. »
Je grommelle :
« – C’est sur que ça doit te changer de ton taudis. »
Tu t’assoies. Moi aussi. Tu commences alors :
« – Bien je pense que nous pouvons commencer nos négociations… »
Je te coupe :
« – Pas de négociations. Tu vas te mettre sur les genoux sur le fauteuil où tu es et je vais t’enculer. »
Tu es abasourdie :
« – Mais… Et les photos… »
« – Quelles photos ? »
Tu sors ton portable, énervée :
« – Je vais vous rafraichir la mémoire ! »
Tu l’ouvres puis commences à chercher. Tes sourcils se froncent. Je sens que tu as envie de pleurer.
« – Un problème, petite pute ? »
« – Mais… Mais… »
« – Tu te rappelle du portique de sécurité à l’entrée ? »
« – Oui. »
« – Disons que j’ai donné des instructions pour le modifier légèrement. Il a maintenant tendance à effacer les mémoires de tout ce qui est électronique… »
« – J’ai… J’ai sauvegardé le message sur mon ordinateur. »
« – Rien à foutre. Tu as juste une photo de la pute que tu es et un message d’un certain François. Pas de numéro d’origine. »
« – Je dois pouvoir récupérer les données ! Vous avez bien réussi à avoir mon numéro ! »
« – En effet. Moi je peux. Pas toi. Si tu es gentille je ferais le nécessaire pour que tu puisse récupérer ta liste de contacts et autres. Bref tout ce qui ne me concerne pas. Je suis pluttôt gentil, hein ? »
Tu sanglotes. Je dis simplement en remplissant un verre de whisky :
« – Chiales pas, tu vas juste te faire défoncer le cul. Ah, c’est sur que j’y irais pas de main morte, on se fout pas de ma gueule comme ça. Mais bon, Je te prendrai qu’une fois, pour t’apprendre. J’ai vu combien tu pouvais être pute et cela me plait. Alors il suffira d’être gentille à l’avenir et on pourra reprendre notre petit jeu. Tu vois, c’est pas si terrible. »
Un silence s’installe. Je joue avec les glaçons dans mon verre. Je sors ma queue déjà dressée et dis :
« – Allez, en position. »
« – Mais, votre femme de ménage. »
« – Ne t’inquiètes pas, Anita en a vu d’autre. »
« – Je… Non, s’il vous plait. »
Je m’impatiente. Je me lève et te force à te mettre en position, je descend ton pantalon et ton slip. Je glisse mon gland dans ton cul :
« – Umm… Il est très serré. Tu vas avoir très mal ma belle. Je vais adorer. »
Je force, tu hurles, je force encore. Enfin je ressors et vais m’asseoir :
« – Vraiment trop étroite. Bon l’alcool à l’air de te faire de l’effet. »
Je te tend le verre de whisky :
« – Bois. »
« – Non… »
« – Bois ! »
Tu t’exécutes. Je t’en verse un deuxième. Tu te forces à l’avaler aussi. Tu tousses.
« – Un dernier pour la route… »
Tu sens déjà l’effet de l’alcool. Tu n’essaies même plus de refuser. Tu es assise face à moi, le pantalon et le slip sur les chevilles. Tu renifles comme une gamine.
« – Bon maintenant on va attendre que l’alcool fasse effet. Anita ? »
« – Oui, Monsieur ? »
« – Montres-lui comment travailles une vraie pute. »
« – Vous voulez que je lui montres comment on se fait déchirer le cul avec plaisir ? »
« – Non, ça elle le sait je suis sur. Elle le cache juste. Suces-moi juste pour me faire patienter. J’ai envie de réserver la primeur de ma queue à notre invitée. »
« – Elle a bien de la chance… Tarif habituel. »
« – Bien sur. Vous verrez ça avec le Maître d’hôtel. »
Anita s’active alors à me lécher et me sucer avec sa ferveur habituelle.
« – Oh, c’est bon… Tu te débrouilles super bien ma belle. »
Je vois que tu commences à te caresser… Mais c’est pas vrai d’être aussi chienne ! En tout cas l’alcool marche bien, c’est bon à savoir.
« – Arrêtes, Anita. Tu vas me faire éjaculer et je veux lui remplir son anus de foutre chaud. Va plutôt faire mouiller notre invitée, je suis sur qu’elle est déjà très chaude. »
« – Bien sur. Et ce sera gratuit pour vous. »
« – Merci. Je m’en rappellerai la prochaine fois qus je te baiserai. Je t’honorerai bien. »
« – Vous m’honorez toujours bien. »
« – Flatteuse… »
Je lui donne une tape sur les fesses et elle s’accroupit entre tes jambes. Tu lui caresses les cheveux alors qu’elle écarte ta chatte.
« – Mais c’est qu’elle mouille déjà, la demoiselle ! »
« – Tu peux l’appeler grosse pute, Anita. C’est vrai, elle mouille ? »
« – Oui, regardez. »
Elle écarte bien ta chatte et tu soulève toi même ton haut pour que je vois mieux. Tu es en effet très humide.
« – Et bien… Essayes-son cul, Anita. »
Elle plante un doigt. Puis essaie d’en mettre un deuxième. Tu pousses un petit cri et ferme les yeux en te caressant les seins.
« – Ne vous inquiétez pas, Monsieur. Elle est encore bien étroite, elle va bien sentir votre queue la déchirer. »
« – Bien alors allons-y. »
Ta voix s’élève alors, à ma grande surprise :
« – Non, lèches moi avec Anita d’abord. Le cul aussi, plantez moi vos langues dans le cul. »
Je suis estomaqué. Je m’apprête à te gifler mais tu me regardes comme une chienne en chaleur, suces tes doigts et sors un de tes seins de ton haut en en caressant le téton. Je suis paralysé par le désir. Quelque chose en moi me force à t’obéir. Je m’accroupis. Anita demande, interloquée :
« – Vous ne l’enculez pas, Monsieur ? »
« – Tais-toi, Anita. On va bien la lécher tout les deux d’abord… »

Après ça tu m’a fait sucer tes tétons, on s’est embrassé et tu m’a offert ton cul sous les caresses d’Anita. Je t’ai prise très fort. Tu as eu très mal mais tu hurlais tellement fort ton plaisir que je n’en ressentais aucun soulagement. Quand tu es partie tu étais toujours bourrée. J’ai demandé à Justin de t’accompagner. J’avais gagné aujourd’hui. Je t’avais déchiré l’anus et tu étais maintenant en mon pouvoir. Mais cette victoire avait un goût de défaite. Je me suis servi un whisky et ait donné sa journée à Anita après qu’elle m’ait taillé une pipe.

—– Elle —–

J’étais dans un beau pétrin et je ne voyais pas comment m’en sortir. Bien au contraire, je m’enfonçais de plus en plus.

Le dimanche soir, je suis rentrée chez moi. J’avais si mal au cul que j’avais du mal à marcher. Je puais le whisky. J’ai pris une douche et je me suis couchée. Aussitôt, j’avais un message sur mon portable me demandant de venir vous voir chez vous, le lendemain à 19 heures. Vous précisiez que si je voulais avoir moins mal, je n’avais qu’à apporter du gel. Vous vous êtes mis à rire et vous avez terminé en souhaitant une bonne nuit à la petite salope.

Lundi, j’ai eu du mal à émerger de mon lit. J’ai traîné dans ma chambre jusqu’à midi. Je n’avais pas faim. Mon frère et ma sœur faisaient du bruit. Je ne supportais pas. J’ai appelé Ben et nous avons discuté. je ne lui ai rien dit mais il m’a trouvé triste. On s’est retrouvé en fin d’après-midi. Il avait trouvé du boulot dans une usine près de la votre. On a été boire un pot. Il a essayé de poser sa main sur mon épaule, j’ai sursauté. Il a voulu m’embrasser, je n’ai pas voulu. Ce n’était pas mon habitude. J’étais anxieuse et je regardais tout le temps ma montre. A 18 h 15, je lui ai dit que je devais partir et je suis partie sans même l’embrasser. Sur le chemin, je suis entrée dans une supérette pour acheter du gel intime. Il n’y en avait pas. J’ai dû faire la queue dans une pharmacie. A ma chance, je suis tombée sur une jeune nana qui m’a fait un clin d’œil en me servant. Ah, si elle savait…

A 19 heures piles, j’étais chez vous. Vous m’avez félicité de ma ponctualité.

« Désolé, ma Jessy, je n’aurai pas beaucoup de temps à te consacrer ce soir. Va te mettre en position contre la table, t’as pensé au gel ?
– Oui…
– C’est bien, t’es une bonne salope, tu t’en mets toi-même, on va voir si je peux m’enfoncer mieux dans ton cul ! »

Je n’ai pas répondu. Je me suis dirigée vers la table. Mon cœur battait fort et je me sentais mal. Je vous tournais le dos. J’ai baissé mon pantalon jusqu’aux jambes. J’ai hésité mais je ne l’ai pas enlevé complètement. J’ai baissé ma culotte. Je me sentais minable. J’ai pris du gel dans le tube et je me suis lubrifiée l’anus. Je me sentais minable. Vous m’avez plaquée contre la table et vous m’avez enculé aussi sec. Vous avez quand même dû forcer. J’ai serré les dents. Une fois en moi, vous avez pu glisser comme vous vouliez. Vous avez pris votre pied en me tirant par les cheveux et en m’insultant. J’attendais que ça se passe. Vous vous êtes retiré de mon cul, vous m’avez mise à genoux face à vous. votre sexe a envahit ma bouche : mélanges de goûts et d’odeur. J’ai attendu encore que ma bouche se remplisse de sperme.

J’ai fini par me relever. J’ai préféré avaler que de garder votre sperme dans ma bouche. J’étais debout, pantalon et slip sur mes pieds. Vous m’avez regardé fixement. Je n’ai pas osé remonter mon pantalon. Vous vous êtes assis dans un fauteuil.

« Tu reviendras demain à la même heure, c’est compris ?
– Oui…
– J’aurais plus de temps pour m’occuper de toi, contente ?
– Oui…
– N’oublie pas que tu es ma chose, tu n’as rien contre moi et moi j’ai tout pour te faire obéir, consciente ?
– Oui…
– Sache aussi que j’ai mis ton téléphone et celui de tes parents sur écoute…
– Ah bon, mais comment avez-vous…
– J’ai des amis très bien placé tu sais, donc je peux suivre toutes conversations…
– Vous êtes un curieux, un pervers…
– Jessy, je ne veux plus que tu voies ce petit con de Ben !
– Mais ce n’est pas…
– C’est un petit con et tu ne le vois plus, compris ?
– Bien…
– Demain tu restes toute la journée chez toi et tu te pointes ici à 19 heures comme aujourd’hui, ok ?
– Ok !
– Tu m’enverras un message Internet toutes les heures dès 8 heures. Allez maintenant déguerpi, je t’ai assez vue ! »

J’ai fini par remonter mon slip et mon pantalon. J’avais vraiment envie de pleurer. Je me suis retenue. au moment de partir, vous m’avez rattrapée et vous m’avez prise dans vos bras, vous m’avez serrée. Vous avez caressé mes cheveux puis vous vous êtes laissé glissé à mes pieds. Vous étiez à genoux et vous m’avez embrassé le bas ventre.

« Va t-en vite Jessy ! »

Je vous ai laissé à genoux et je suis partie en courant. Il était à peine 20 heures quand je suis rentrée chez moi. J’ai dû rester à table avec mes parents, mon frère et ma sœur. Un moment, mon père a parlé de sa boîte et de ce salaud de patron. J’ai avalé de travers.

J’étais dans ma chambre, sur mon lit. J’étais comme dans une prison. Je ne pouvais pas téléphoner, je ne pouvais par utiliser Internet sans que vous sachiez ce que je faisais. J’étais opprimée.

Le lendemain, c’est la sonnerie de mon téléphone qui me réveilla. C’était vous : « Alors Jessy, tu as vu l’heure ?
– Non, pourquoi ? je dormais !
– Il est 8 h 10 et tu devais m’écrire à 8 heures et 8 heures c’est 8 heures précises, je veux savoir que tu es bien chez toi et pas ailleurs, lève toi et écris moi tout de suite puis toutes les heures sinon gare à tes fesses ce soir ! »

Vous avez raccroché. J’étais en chemise de nuit. J’ai allumé l’ordinateur et je vous ai envoyé un message. J’ai été prendre le petit déjeuner. Je me suis habillée d’un jean et d’un débardeur, selon mon habitude. Il était neuf heures. Je me suis installé devant mon ordinateur et je vous ai envoyé un message vous disant juste que j’étais encore chez moi. J’ai vaqué à mes occupations. Il faisait beau mais je n’avais pas envie de sortir.

A 10 heures moins dix, vous m’avez appelé.

« Salut Jessy, tu fais quoi ?
– J’allais faire une lessive dans la machine à laver…
– Bonne occupation, dans ton message de 10 heures envoie moi une photo de toi devant ton lave-linge !
– Mais comment ?
– t’es seule chez toi ?
– Non il y a ma sœur…
– Elle a quel âge ?
– 13 ans…
– Alors elle doit savoir prendre des photos, demandes lui vite de le faire tu n’as plus que sept minutes. »

J’ai dû demander à ma sœur Claire de me prendre en photo. Elle m’a posé plein de questions. J’ai menti. Elle m’a demandé si je voulais qu’elle me prenne à poil. Je lui ai dit que non. Une photo habillée suffirait. Elle a haussé les épaules. Je vous ai envoyé la photo avec le message de 10 heures. En réponse, vous m’avez écrit que je n’étais pas assez souriante et qu’il fallait que je recommence. Alors, j’ai rappelé Claire pour qu’elle fasse une nouvelle photo. Elle était curieuse et je l’ai engueulée. Je devenais nerveuse. Je vous ai envoyé la photo avec le message de 11 heures. J’ai continué à vous envoyer des messages toutes les heures mais je n’ai pas eu de réponses. Je n’ai répondu à aucune des personnes qui m’appelait sur mon portable.

Il y avait des embouteillages et le bus a mis plus de temps que prévu. A 19 h 10, je sonnais à votre porte.

Proposée par Talis Cat

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