—– Talis Cat —–
Je me lève et vais aux toilettes. J’hésite un peu mais je finis par ôter ma culotte. Je la fourre dans ma poche puis reviens. Je te glisse discrètement la culotte et m’assoie. Tu dis :
« – Voyons voir si tu as du goût en matière de slip… »
Tu t’apprêtes à lever ma culotte à la hauteur de tes yeux mais j’arrête ta main et la bloque sur la table. Tu souris et dis :
« – Oh, comme tu es romantique, François, me tenir ainsi la main… »
Je rougis malgré moi. Je veux la retirer mais tu dis :
« – Non. Sois un vrai gentleman : caresses-moi la main en me disant des mots doux… Sinon je finirais ce que j’avais commencé. »
Je me maudis d’être entrée dans ce jeu. Mais je suis excité malgré moi. Je lui caresse doucement la main et lui sors les banalités que l’on sort au femmes dans ces moments là. Enfin je porte sa main à mes lèvres en la fixant des yeux. Ma culotte est sur la table, au vu et su de tout le monde. Mais c’est l’occasion de la récupérer. Je m’apprête à la récupérer mais tu appuies tout à coup ta chaussure à talon sur mon entrejambe. Tu en profites alors pour récupérer la culotte et la mettre dans ton sac. Tu caresses mon sexe :
« – Dis moi, François, tu as l’air bien dur… C’est juste l’idée de m’enculer ce soir qui te fait bander ainsi ? »
« – Bien sûr ! Quoi d’autre ? »
Tu ne réponds pas mais je lis dans ton regard que tu sais qu’il y a autre chose. Et tu as envie d’en profiter. Et moi aussi, j’en ai envie…
« – Mets-toi pieds nus. »
« – Hein ? »
« – Juste un pied suffira. Obéis. »
« – Bien, bien… »
J’obtempère. Tu souris, victorieuse, ton pied continue ses caresses plus ou moins brutal :
« – Tu es vraiment très raide, François, c’est bien. Tu dois te sentir à l’étroit … »
« – Un peu, oui… Peut-être pourrais-tu me soulager ? »
« – On verra. Tu sais moi aussi je suis très excitée. Je mouille. Tu veux vérifier ? »
« – Oui, bien sûr, petite pute. »
Tu fronces les sourcils, ton talon aiguille s’enfonce dans mes couilles, je réprime un hurlement. Puis tu continues tes caresses, un peu plus fermement :
« – Un peu de tenue, mon cher. On ne traite pas une dame ainsi… »
Bordel, comment cette petite salope ose t-elle me parler ainsi ! Je pourrais te forcer à aller dans les chiottes et t’enculer de suite. Mais je dis simplement :
« – Excuses-moi. Tu me plais tellement, tu comprends. »
« – Vouvoies moi s’il te plait. »
« – Hein ? Mais, ca va pas ! Tu… »
Nouvelle pression sur mes bourses. Je serre les dents et grommelle :
« – Bien. Excusez-moi, Milady. »
Salope ! Comment une sale chienne, fille d’ouvrière, ose t-elle me traiter ainsi ! Et pourquoi cela m’excite t-il malgré tout ?
« – Milady… Oui, j’aime bien ce nom. »
Tu restes pensive et ajoute enfin :
« – Tu veux vérifier que je suis bien humide pour toi, mon petit ? »
Mon petit ? Mais pour qui me prends tu ?
« – Euh, oui. »
« – Oui, qui ? »
« – Oui, Milady… »
« – Bien, alors utilises ton pied, je t’y autorise. »
Je n’hésite pas et je sens que tu écartes tes cuisses pour accueillir mon pied. Je sens ta vulve contre mes doigts de pied. C’est très humide, cette sensation est exquise…
« – François, je crois que c’est trop humide, je vais tâcher ma robe… Tu vas venir avec moi. J’ai besoin d’être léchée. »
Je ne réfléchis même pas et acquiesce. J’oublie presque de remettre ma chaussure. Je te suis et veux t’entrainer dans les toilettes des hommes. Tu dis juste :
« – Non, celle des femmes. »
« – Ah bien… Milady. »
Tu souris.
Nous entrons alors dans les toilettes des femmes et tu t’installes sur le lavabo. Tu soulèves ta robe et te caresse la chatte :
« – Tu aimes ça, mon beau ? »
« – Oh oui, Milady. »
Je sors mon sexe et me place entre tes cuisses. Tu me repousses :
« – Non. Tu me lèches, c’est tout. »
Je réprime une envie de te gifler. Mais ton regard me fige :
« – Je… Bien, Milady. »
Je m’agenouille et commence à délicatement goûter ta fleur. Tu pousses un petit gémissement :
« – Bien, très bien… Ta Milady est contente de toi… »
Manquerait plus qu’elle ne sois pas heureuse cette petite traînée ! Tu devrais être à mes pieds, pas l’inverse ! J’entends que tu dégage tes seins et te caresses. Je regarde ta poitrine et mes mains montent vers elle. Tu me donnes une claque sur les mains :
« – Occupes-toi juste de ma chatte. Tu n’es pas autorisé à toucher mes seins, ni même les regarder … »
J’ai très envie d’arrêter ce petit jeu, de me relever et de te violer. Mais quelque chose me pousse à obéir… Et à aimer ça. Je continue donc mes caresses en faisant de mon mieux pour te contenter.
Une femme entre alors. Elle reste figée puis s’apprête à ressortir sans mots dire. Mais Jessy lui dit :
« – Ne vous gênez pas pour nous… »
« – C’est que… »
« – Vous voudriez que mon petit François vous lèche aussi, peut-être ? Vous savez il se débrouille bien. »
Son petit François ? Mais… Tu es malade ! Je n’arrive pas à me révolter… Je ne comprends plus…
« – Euh, c’est à dire… »
« – Oh, j’ai une idée. Vous n’avez qu’à faire votre petit besoin et après il vous essuiera… Ca serait excitant, non ? »
Elle ne va quand même pas accepter ? Que tu sois une perverse, passe encore, mais on est dans un grand restaurant. La fille répond :
« – Oui, pourquoi pas. »
Je n’en reviens pas. Je dis :
« – Non, mais ça va pas ! »
Tu me grondes :
« – Je parle avec la dame, ce n’est pas une raison pour arrêter de me lècher ! »
« – Euh… Bien, Milady. »
« – Bien. Vous nous prévenez quand vous aurez besoin de mon chevalier servant, d’accord ? »
La fille est très gênée. Mais aussi terriblement excitée. Si ça se trouve c’est une escort qui doit plutôt être habituée à se plier au plaisir de ses clients que d’avoir un riche homme d’affaire à sa disposition… Ou une gentille secrétaire qui s’offre à son patron. Ou même une épouse rangée…
« – Euh, oui… »
Elle se dirige vers les toilettes et s’apprête à refermer la porte. Tu lui dis :
« – Pas la peine, laissez la porte ouverte, on est entre nous. »
Quelle perverse tu fais… J’entends la femme faire son besoin alors que je continue à te donner du plaisir. Enfin le bruit d’écoulement s’interrompt. Tu me dis alors :
« – C’était très bien, mon beau. Je suis très proche de l’orgasme, tu sais. Je pense qu’il viendra quand je te regarderai t’occuper de notre amie… Allez vas-y. »
« – Bien, Milady. »
Je me dirige vers les toilettes et m’accroupis face au sexe de l’autre femme. Tu te caresses en me regardant. Je m’apprêtes à prendre du papier pour l’essuyer. Tu ris :
« – Voyons, François, ne sois pas bête ! Avec la langue… »
« – Hein ? Tu es folle ! »
« – Ne me parles pas sur ce ton et obéis ! »
« – Je… Oui, désolé, Milady… »
L’idée me répugne mais je n’arrive plus à te désobéir. Je commence à la lécher. Elle gémit de plaisir. Tu t’adresses à la jeune femme :
« – Vous voyez qu’il se débrouille… »
« – Umm… Oui… Je sens qu’il ne va pas essuyer que mon urine… »
Tu souris :
« – Bien sûr. Il lèche tout si je lui demande, n’est-ce pas, mon petit ? »
Je ne réponds pas. Je boue intérieurement mais ne débande pas pour autant. Qu’est-ce que tu vas prendre une fois à la maison ! Enfin je t’entends avoir ton orgasme, assise sur le lavabo. Tu restes quelques instants à reprendre ta respiration puis tu remets ta robe et dis simplement :
« – Bien. Moi je retourne manger. Toi tu restes ici jusqu’à ce qu’elle ait eu un orgasme. »
Puis, t’adressant à la fille :
« – Il fera ce que vous voulez. Il vous baisera quand et comme vous aurez envie. Si il est désobéissant ou même pas satisfaisant, venez me le dire. »
Tu t’en vas alors me laissant avec elle.
Quand je reviens la femme me suit à distance. Elle s’avance vers toi et dis :
« – Il a été très bien. J’avais envie d’être sodomisée et il a fait ça très bien, ce n’était que du plaisir. Vous pouvez être fière de votre amant ! »
Tu me regardes avec un sourire en coin :
« – Je savais que tu pouvais faire ça bien… Alors maintenant tu as intérêt à assurer, plus de médiocrité ! »
« – Bien, Milady… »
Nous finissons de manger. Je paies. Heureusement qu’il y a eu cette fille. J’ai du lécher son urine mais au moins elle m’a laissée me soulager en elle. Mais je bandes à nouveau. Il faut que je te possèdes, vite… J’entre dans la limousine et te tiens la porte. Tu dis simplement :
« – Non, merci. Je vais à l’avant. »
Et tu me laisses planté comme un imbécile avec ma portière. Et ma fellation ? Je vais quand même pas me branler à l’arrière de ma limousine ! Tu t’assoies à côté de Justin et lui adresse un sourire. Vous avez l’air complice… La voiture démarre.
Nous roulons en silence. Puis tu dis d’un coup, nonchalamment :
« – Justin ? Tu n’as pas envie que je te suce ? »
Il a du mal à ne pas faire une embardée :
« – Hein ? Euh, je… »
Tu sors tes seins, les lèche. Puis tu remontes ta jupe pour dévoiler ta chatte à nouveau trempée de désir. Tu t’étires langoureusement. Je trépigne, assiste impuissant au spectacle.
« – Voyons, je suis sûre que tu en as envie… »
Il rougit :
« – Oui… Mais Monsieur… »
« – Appelles-le François. Il n’y verra pas d’objection. »
Tu te retournes vers moi :
« – Hein, mon cher ? »
Je grommelle :
« – Non, non… Aucune objection… »
« – Tu vois Justin ! Allez laisses toi faire… »
Tu sors sa verge avant qu’il n’ait pu répondre et ses mots se perdent dans un râle alors que tu avales sa queue. Je suis hypnotisé par cette vision. Enfin tu te relèves en continuant à branler Justin. Tu me regardes et dis :
« – Tu veux que je te suces aussi ? Je vais bientôt goûter le bon sperme de Justin, je le sens. »
« – Bien sûr ! »
« – Il faudra que tu fasses le chauffeur alors. Et Justin prendra ta place. Vous inverserez vos habits. Et il te traitera comme toi tu le traites. Et tu n’auras pas intérêt à te venger sur lui par la suite. Sinon tu peux dire adieu à mon cul ! »
Ton cul ? je n’y ai même pas encore eu droit… C’est tout juste si tu vas me sucer comme c’est parti… Mais j’acquiesce en silence.
« – C’est bien, mon beau. »
Tu ajoutes, joviale :
« – Et puis c’est normal qu’une fille d’ouvrière ne suce que des gens de sa classe ! Les patrons baisent plutôt les secrétaires… Enfin, peut-être que tu me trouveras un boulot de secrétaire… »
Je ne réponds pas et tu recommences à sucer Justin qui ne tarde pas à venir dans ta bouche.
Tu restes un moment à lui lécher le sexe. Enfin la voiture se gare. Justin me rejoint à l’arrière et nous échangeons nos vêtements. Je m’assoie alors à l’avant. Je n’ai jamais conduis de limousine… Tu te caresses sur le siège passager. Justin dit alors :
« – Et bien, François ? Qu’attends-tu ? Notre invitée s’impatiente ! »
Je démarre. La voiture cale :
« – Espèce d’imbécile ! Expliques-moi pourquoi je paie un incapable dans ton genre ? »
Justin en profite. Toi tu jubiles sur ton siège. Je serre les dents et arrive tant bien que mal à démarrer. C’est vraiment dur à manier un engin pareil. J’en oublie pourquoi je me suis retrouvé ici. Et tu ne me le rappelles pas. Nous arrivons chez moi. Justin me dit :
« – Bon, François, va garer la voiture. Et ne la rayes pas ! »
Bien sûr que non que je ne vais pas la rayer… C’est MA voiture ! A l’entrée le gardien me regarde interloqué mais ne dit mot. J’arrive au garage. Comment on ouvre cette satanée porte ? Ah c’est automatique… Je me gare alors avec toutes les peines du monde. Je soupire. Et tout me reviens en tête. Tu m’as bien eue ! Tu ne m’as même pas sucée ! Je sors en trombe de la voiture et me dirige vers la maison, MA maison. Quand j’arrive au salon je m’apprête à m’énerver mais le spectacle que je vois me fige. Justin te baise sur le canapé. Je regarde sans bouger. Il t’éjacule dessus. Tu le lèche puis il range enfin sa queue et m’adresse un sourire goguenard :
« – Bon, et bien je vous laisse, Monsieur. »
Je l’attrape par le bras :
« – Attends ! Mes vêtem… »
Tu m’interromps :
« – Oh, François, ne sois pas si mesquin… Et puis je t’aime bien en uniforme. »
Tu es allongée sur le ventre et trémousse ton petit cul en guise d’invitation. Je laisse partir Justin. Je m’avance vers toi. Tu te mets sur le dos et mets en valeur tes courbes en t’étirant. Tu dis :
« – Tu as envie de moi, François ? »
« – Oui… Très envie. »
« – Moi aussi. Tu te rappelles Ben ? »
« – Le petit con ? Oui. »
« – Tu as bien fait de me forcer à le larguer. Justin baise beaucoup mieux. »
« – Ah… »
« – Mais peut-être que toi tu peux encore mieux faire ? »
Je te regarde. Mes yeux sont plein de désir. Je n’ai pas juste envie de te prendre. J’ai envie de te donner du plaisir, que tu ne puisses plus te passer de moi. Je commence à te caresser et dis :
« – Oui, je suis sûr que oui… »
Tu soupires et te laisses aller sous mes doigts…
—– Elle —–
Vous me caressez les seins et les cuisses. Je me laisse faire comme si vous ne faisiez rien. Je me concentre pour n’émettre aucun signe de plaisir, rien. Ça vous énerve. Je le sens bien et je continue mon petit jeu.
« Alors, on a du mal à faire jouir Milady ? Monsieur le directeur préfère s’en doute donner la fessée aux enfants de son personnel ? »
Vous ne répondez pas. De moi-même je me mets sur vos genoux. Je m’allonge sur le ventre, je croise mes bras devant moi.
« Vas-y frappe moi, je sens que tu en as envie ! »
Vous ne vous faites pas prier une deuxième fois. Vous n’avez pas grande chose à relever pour dénuder mes fesses. Votre main s’abat sur moi sans beaucoup d’intensité et pourtant je pousse un cri strident. Vous recommencez et je pousse un nouveau cri entre l’extase et la souffrance.
« Tu vas voir salope…
– Oui fais moi voir !
– Mais c’est que tu commences à aimer…
– Oui j’aime tout ce que tu me fais ! »
Vous m’avez encore frappée deux ou trois fois puis vous avez caressé mes fesses et rabaissé ma robe. Vous m’avez mise à genoux. Vous avez pris mes épaules dans vos mains. Vous m’avez rapproché de vous.
« Et Justin ?
– C’est… C’était… »
Je n’ai pas fini ma phrase. J’ai déboutonné votre pantalon. J’ai baissé la fermeture et cherché votre sexe dans le fond de votre caleçon. Je vous ai regardé en vous souriant. J’ai pris le bas de votre pénis entre mes doigts et je l’ai gobé. Je vous ai sucé lentement et avec minutie, relâchant votre sexe par moment, juste pour vous demandez si ça vous plaisait. Je léchais précautionneusement le gland. Mes doigts montaient et descendaient. Vous commenciez à prendre de la vigueur. Je faisais durer le plaisir. J’y prenais beaucoup de plaisir. Pas temps de vous avoir dans ma bouche mais parce que je vous sentais à ma merci.
Vous me caressiez les cheveux d’une manière très paternaliste. Vous me disiez que vous aimiez beaucoup la manière que je vous sucer et que je vous léchez le sexe. « A ton tour. Montre moi comme tu sais donner du plaisir ! » Je suis monter sur le canapé où vous étiez installé. Je me suis mise debout. Mes fesses étaient sur votre visage. Je me suis hissée sur la pointe des pieds et j’ai posé l’entrée de mon vagin sur votre visage : « Lèche moi ! »
Vous m’avez tenu par les hanches et j’ai senti votre langue sur mes lèvres intimes. « C’est tout ce que tu faire, vieux frustré ? ». Je me gardais de toute jouissance. Vous accélériez les mouvements de votre langue. je commençais à jouir pour de bon, je me contenais encore. J’ai baissé ma main droite et je me suis caressée le clitoris. J’ai fini par me laisser aller et à goûter le plaisir que vous me procuriez. Votre langue était dans mon vagin.
Je me suis retenue sur le dossier du canapé. Ma tête tournait : l’alcool et le plaisir se mélangeaient. J’ai fait l’effort de me pencher sur vous. Tout en laissant mon sexe à votre bouche, j’ai repris le votre dans la mienne. Vous me léchez et moi je vous suce et c’est à celui qui procurera le plus de plaisir à l’autre. Vous aviez abandonné mon vagin pour mes fesses. Le plaisir de chacun était extrême.
J’ai fini par m’empaler sur votre sexe, mon dos collé à votre ventre. Ma tête était penchée sur votre épaule. Vous me demandiez si j’aimais et je répondais oui en soupirant. Je continuais à me caresser le clitoris et je gémissais de plaisir. Je vous demandais à mon tour si vous aimiez et vous me disiez que oui.
Je me suis levée brusquement et je vous ai regardé. Je me suis mise à genoux devant votre sexe tendu.
« Vois-tu François, je ne sais pas si tu mérites de fourrer ton sperme dans ma chatte… »
Vous ne teniez plus. Vous avez pris votre pénis à pleine main et en deux coups vous vous êtes mis à éjaculer. J’ai léché le sperme qui sortait.
« Tu vois François, je sais être gentille, très gentille sauf que toi, t’es qu’un pauvre con de patron. Alors tu vois, si tu veux que je sois encore très gentille avec toi, je veux que tu me demandes pardon. Je veux que tu te mettes nu et à genoux et que tu me demandes pardon pour toutes tes méchancetés. Je veux que tu me demandes pardon et que tu me proposes un dédommagement. Je verrais alors si je veux encore être gentille avec toi… »
Proposée par Talis Cat