Jessy 8

—– Talis Cat —–

Tu te retournes, t’apprêtes à partir. Je me jette à tes pieds, te supplie. Tu sors alors de tes gonds. Tu me roues de coups de pieds en me traitant de tout les noms. Tu pleures. Tu as eu tellement peur ce soir. Enfin tu te calmes. Tu me regardes avec dédain, roulé en boule par terre. Tu me craches dessus puis tu te diriges à nouveau vers la porte. Je me redresse comme je peux. J’ai très mal, je dois avoir des bleus partout et une côté fêlée. Je t’appelle :

« – Non, Jessy ! Restes ! Milady !!! Maîtresse ! »
Tu t’arrêtes, te retournes lentement. Tu susurres, tel un serpent :
« – Comment m’as-tu appelée ? »
« – Euh… Milady ? »
« – Non… après. »
« – Maîtresse ? »
Tu parais pensive. Tu reviens vers moi. je suis agenouillé. Tu poses ton talon sur ma nuque :
« – Maîtresse… Maîtresse Milady. Oui, ça sonne bien… Tu vas m’appeler ainsi maintenant. »
Je te regarde, plein d’espoir :
« – Tu restes ? »
Ton talon se lève puis s’abat sur ma nuque dans un craquement. J’ai affreusement mal. Tu hurles :
« – D’abord tu ne me tutoies pas, espèce de larve ! Ensuite tu m’appelles Maîtresse Milady, compris ? »
« – Bie… Bien, Maîtresse Milady. »
Tu ôtes ton pied, je m’effondre. Tu demandes :
« – Où est Anita ? Appelles-la. »
« – Oui, Maîtresse Milady. »

Quelques secondes plus tard Anita apparait. Elle demande :
« – Oui, Monsieur ? »
Tu réponds à ma place :
« – Appelez-le larve, ça lui va bien. »
« – Bien Mademoiselle. »
« – Et moi, Maîtresse. »
« – Euh, bien Maîtresse. »
« – Allez cherchez un gode. La larve veut se faire déchirer le cul. »
« – Ici ? »
« – Oui, imbécile. »
« – Bien… »
Elle ne tarde pas à revenir. Elle baisse mon pantalon. Je ne réagis pas. Elle enfonce le gode dans mon cul. J’ai atrocement mal. Tu ne regardes même pas. Je serre les dents pour ne pas crier, je sais que cela te déplairait. Tu demandes distraitement en fouillant le placard à liqueur :
« – Comment fait-on pour faire venir ton majordome ? »
« – La fausse sonnette sur le bureau est en fait un bouton d’appel, Maîtresse Milady… »
« – Bien. »
Tu sonnes. Un homme d’un certain âge, distingué, apparait. Il a un léger mouvement de recul en voyant ce qui se passe mais se rattrape vite.
« – Oui, Monsieur ? »
A nouveau tu réponds :
« – Payez Anita pour ses services, voulez-vous ? »
Il ne réagit pas. Tu demandes :
« – Vous êtes sourd ? »
« – Non. Mais vous n’êtes pas habilitée à me donner des ordres. »
Son regard est chargé de haine à ton égard. Tu saisis la cravache et te venges sur moi. Toujours pas de réaction du majordome. Je dis enfin :
« – Obéissez-lui, James. »
« – Bien monsieur. »
Il repart et revient quelques instants plus tard avec quelques billets qu’il tend à Anita.
« – Autre chose ? »
Tu lui dis :
« – Oui, vous allez rester ici. »
« – Non. »
Tu tempêtes :
« – Comment ça, non ? Il vous a dit de m’obéir ! »
« – Je suis habilité à refuser les ordres qui me paraissent inconvenants. Bonne soirée. »
Il repart en fermant la porte. Tu fulmines, me cravaches à nouveau.

Enfin tu te calmes un peu. Anita dis alors :
« – Si vous voulez, j’ai un jouet plus adapté, Maîtresse… »
« – Ah ? »
« – Oui, la larve l’utilise quand il a plusieurs compagnes, il aime bien les voir se donner du plaisir quand il se repose… »
« – Oh… Ca m’a l’air intéressant. Allez chercher ça, voulez-vous ? »
« – Tout de suite, Maîtresse ! »
Anita s’en va. Tu me regardes. Je n’ose bouger. Tu t’accroupis face à moi. Tu me craches au visage puis dis :
« – Dis donc, tu bande plus. T’es devenu impuissant ? »
« – Non, Maîtresse Milady… Mais j’ai trop mal… »
« – Et alors ? Moi je prend mon pied quand on m’encule bien. Anita n’est pas douée c’est ça ? »
« – Si si, Maîtresse Milady. Mais moins que vous j’en suis sûr. »
« – Tu aimerais mon cochon, hein ? »
« – Oui, Maîtresse Milady. »
Tu te lèves, me cravaches les fesses et dis :
« – J’y penserais. En attendant tu vas picoler un peu, ça aide… »

Tu me tends la bouteille de whisky et je commence à boire en attendant que tu me demandes d’arrêter. Ma gorge me brûle. La bouteille est à moitié vide quand Anita revient. Tu me dis alors d’arrêter. Anita porte un gode-ceinture qu’elle s’empresse de m’enfourner dans l’anus. Je hurle. Elle me déchire de plus bel. Tu es ravie. Tu t’assoies face à moi et me montre ta chatte :
« – Tu en as envie, hein ? »
« – Oui, Maîtresse Milady ! »
Tu te mets alors à quatre pattes et écartes tes fesses :
« – Et de ça aussi, surtout de ça, n’est-ce pas ? »
« – Oh oui, j’adorerais, Maîtresse Milady. »
Tu te relèves et te contentes de dire :
« – Enculez le plus fort, Anita. »
Elle ne se fait pas prier. Tu commences à me parler :
« – Bien tu vas virer cette Claire. »
« – Je ne peux pas, Maîtresse Milady, ça ne dépend pas que de moi ! »
« – Alors violes-la, pour qu’elle démissionne. »
« – Mais… Elle me fera un procès ! »
« – Fais là violer par tes sbires. Elle fera une dépression et je pourrais prendre sa place. »
« – S’il vous plait, Maîtresse Milady. Pas Claire… »
« – Tu l’aimes ? »
« – Non, Maîtresse Milady. »
« – Alors quoi ? »
« – Je tiens à elle, Maîtresse Milady… »
« – Justement. A partir de maintenant moi seule compte pour toi, compris, la larve ? »
« – Oui, Maîtresse Milady. »
« – Donc je vais commencer à travailler avec elle, histoire de prendre un peu mes marques, et quand je le déciderais, tu enverras tes sbires la traumatiser. »
Je pleures à l’idée de faire autant de mal à la seule femme qui m’ait réellement aimé mais je n’ai pas le choix si je veux te garder :
« – Bien, Maîtresse Milady. »
« – Oh, et James… »
« – Oui, Maîtresse Milady ? »
« – Vires-le. Maintenant. »
« – Mais… »
« – Un problème, la larve ? »
« – Je ne peux pas, Maîtresse Milady… »
« – Tu n’es décidément bon à rien… C’est quoi le problème maintenant ? »
« – James… Ca fait si longtemps. Je ne trouverais jamais quelqu’un en qui je puisse avoir autant confiance, Maîtresse Milady. »
« – Moi, j’ai pas confiance en lui. Vires-le. »
Tu te diriges vers la sonnette et l’appelle. Quand il arrive tu me regardes. Je détourne les yeux, Anita me sodomise toujours, elle s’amuse comme une folle. Je dis :
« – James. Vous êtes viré. Immédiatement. Je vous prie de partir. Je vous ferais parvenir vos indemnités. »
« – Bien, Monsieur. Comme Monsieur voudra. Au revoir, Monsieur. »

Il repart sans rien ajouter. Tu fulmines. Tu t’attendais à le briser mais il a eu l’air de s’en foutre. Tu hais cet homme. Je rajoute alors :
« – Vous devriez faire attention, Maîtresse Milady. James connais pas mal de monde… Il pourrait vouloir se venger. »
Tu hurles :
« – Tais-toi, la larve ! »
Puis, t’adressant à Anita :
« – Donnez moi ce gode-ceinture, j’ai envie de le déchirer pendant qu’il vous léchera. »
« – Bien, Maîtresse. »
Tu commences alors à me ramoner sauvagement. Je me concentre sur la chatte d’Anita. Tu dis alors :
« – Doigtes lui le cul, à cette salope ! »
Je m’exécute. Anita à l’air d’aimer. Enfin tu t’arrêtes. Tu t’es calmée. Tu dis alors :
« – Vas t’asseoir dans un coin, la larve. Anita va m’enculer, j’en ai très envie. Et toi, tu n’as pas intérêt à te toucher ! »
J’assiste alors impuissant au spectacle de celle que j’aimerais tant prendre se faisant sodomiser par ma femme de ménage et adorant chaque instant. Je bande, mais je n’ose me toucher. J’ai mal au cul mais je m’en fous. Je me ferais encore sauvagement sodomiser pendant des heures juste pour pouvoir glisser mon sexe en toi, sentir tes lèvres sur ma verge… Mais là je n’y ai pas eu droit. Plus tard j’espère.

Tu décides de rester dormir chez moi, tu t’installes dans mon lit et y invites Anita. Tu m’as ordonnée de resté couché sur le sol du salon. A un moment de la nuit j’ai vu Justin passé. Puis repartir plus tard. Tes cris de jouissances ont envahis la maison une bonne partie de la nuit, résonnant dans ma tête…

—– Elle —–

Les jours suivants se passèrent de la même manière.

Le jour, vous alliez à votre bureau et vous traitiez vos affaires tout à fait normalement ou presque. Presque parce que je n’étais pas loi. Je m’étais imposée aux côtés de Claire. Je m’amusais à lui lancer des pics. Je ne faisais pas grand chose quand j’étais là et ça vous mettez la pression. Par moment, je rentrais dans le bureau. Vous étiez en plein travail et je vous racontais tout ce que vous subiriez dès votre retour à l’appartement. Une autre fois, vous étiez en rendez-vous et je suis entrée en jouant la parfaite putain soumise. Mais je n’en faisais pas plus. Je m’amusais seulement. Le soir à l’appartement c’était tout autre chose.

Votre consigne était d’être entré à 17 heures au plus tard. Tous les soirs vous étiez là à 17 heures. Je m’étais installé chez vous avec Anita. Toutes les deux, on s’amusait beaucoup à vous humilier. Tout d’abord, on ne supportait aucun vêtement sur vous. Dès votre retour, vous deviez rester nu. J’avais acheté un collier pour chien. Je vous le mettais. Vous deviez alors rester à quatre pattes devant nous, la tête baissée, le regard vers le sol. Vous deviez rester le plus immobile possible. Pendant ce temps, on se gavait de gâteaux en regardant la télé et en vous ignorant totalement. Selon notre humeur, cette séance pouvait durer dix minutes ou plusieurs heures.

Quand nous avions fini notre film ou nos papotages, nous daignons alors vous tendre nos pieds et vous deviez les lécher. Vous deviez lécher quatre pieds de petites femelles en chaleur et vous ne pouviez rien nous faire d’autre. Les choses avaient ainsi tourné. Vous léchiez nos pieds, nos orteils, nos chaussures. Vous léchiez jusqu’à ce que vous dise d’arrêter. Quand nous avons jugé que nos pieds étaient assez propres, vous deviez vous allonger sur le dos. On s’essuyait nos chaussures sur votre ventre. Nous portions souvent des escarpins à hauts talons aiguilles et on s’amusait à enfoncer nos talons dans votre ventre, dans vos cuisses, sur votre poitrine. On frottait votre sexe, on écrasait vos testicules et votre visage. Tout ça nous faisait beaucoup rire.

A tour de rôle, on vous chevauchait et on vous faisait avancer à quatre pattes. Celle qui était sur vos dos avait la cravache et elle n’hésitait pas vous cravacher les fesses pour que vous avanciez plus vite. On se chronométrait sur trois tours de la pièce. Quand j’étais sur vous, je ne ménageais pas mes efforts pour gagner. Cravache et insultes pleuvaient alors sur le pauvre animal que vous deveniez.

Celle qui gagnait avait droit à un massage des pieds. C’était souvent moi mais des fois je laissais aussi Anita gagner. Vous deviez vous mettre de nouveau sur le dos et vous occupez de nos pieds nus. J’aimais vous les faire sentir essayant même de mettre un orteil de votre narine. Vous deviez aussi les lécher. Lécher les orteils et entre les orteils. J’avais que c’était délicieux. J’écartais mes cuisses pour mieux profitez des caresses de votre corps. Par moment, vous aviez un début d’érection, alors j’écrasais votre pénis et vos testicules car je ne supportais pas de voir bander du moins si je ne vous l’avez pas demandé. Quand vous étiez redevenu à ce que j’estimais être un état normal, vous deviez me demander pardon à genoux. Vous deviez faire preuve de beaucoup d’imagination dans les noms que vous vous attribuiez pour que j’accepte votre pardon.

J’étais Maîtresse Milady et Anita était Maîtresse Ségur. On s’amusait vraiment beaucoup. On s’entendait très bien. On se caressait souvent pendant nos jeux. On vous autoriser à venir nous lécher entre les cuisses. Nous étions vautrées sur le canapé les cuisses grandes ouvertes ou bien l’une d’entre nous vous enjambait la tête et se frottait sur votre visage jusqu’à ce qu’elle jouisse. Au moindre mouvement de votre sexe, l’autre l’empoignait et serrer de toutes ses forces.

Tous ces jeux duraient jusqu’à une heure avancée de la nuit. Puis Anita et moi nous nous couchions dans votre lit et vous par terre au pied du lit. La plupart du temps, vous dormiez avec une gode enfoncé dans votre anus. Anita m’avait fait découvrir les caresses entre femmes que je n’avais jamais connu avant. J’aimais beaucoup. Quand on avait envie d’un homme, on téléphonait à Justin et il arrivait dix minutes après pour nous baiser. Il vous regardait toujours avec compassion. A huit heures du matin, il était toujours là pour vous emmener au bureau. On vous réveiller à sept heures pour que vous soyez prêt. Vous étiez prêt mais toujours de plus en plus fatigué. Anita et moi, dormions jusqu’à midi.

Celle qu’on avait laissé tranquille jusqu’à présent, c’était Claire. Claire, votre dévouée secrétaire qui était amoureuse de vous, ça en crevez les yeux. Les fois où je venais au bureau, elle m’exaspérait. Elle me prenait toujours par le haut et me parlait comme on parle à une enfant. Je vous avais demandé de la faire violer mais vous la défendiez. Je me disais que je m’en occuperai bien un jour. En attendant, je rentrais chez nous, je retrouvais Anita et on attendait 17 heures que vous rentriez, que vous vous mettiez tout nu et alors on s’occuperait une nouvelle fois de notre larve, de notre lavette, de notre serpillière…

Proposée par Talis Cat

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