—– Talis Cat —–
Encore une matinée fatigante. Je tiens difficilement debout. Heureusement tu me laisses relativement en paix pendant la journée… Aujourd’hui tu as daignée te présenter au bureau. Ton embauche à fait jaser, même ton père voit ça d’un sale œil. Claire ne dit rien mais je sens qu’elle devine qu’il y a anguille sous roche. Mais elle me soutient toujours. Je souris en pensant à elle alors que je classe des dossiers dans son bureau. Ah, Claire… Mon petit rayon de soleil dans ces jours embrumés.
Soudain tu te lèves et vas fermer la porte. Je te regarde et demande, interloqué :
« – Que fais-tu ? »
« – Déshabilles-toi. »
Claire n’a pas levé les yeux mais elle a arrêté de taper à l’ordinateur. Je sens qu’elle contient sa fureur. Tu tempêtes, impatiente :
« – Alors ? Tu ne sais plus obéir à ta Maîtresse ? »
Je récupère du choc et me dépêche de répondre :
« – Bien sûr, Maîtresse Milady ! »
Je me dénude. Claire garde les yeux baissés. Ton regard vont de elle à moi et tu souris victorieusement. J’aurai du m’en douter, tout ceci n’a pour but que d’atteindre Claire… Pourquoi faut-il que tu lui en veuilles autant ? Tu dis alors :
« – Montres ton dos à ta chère secrétaire. Montres lui les traces de ta soumission… »
J’obtempère. Claire garde les yeux baissés. Tu cries :
« – Regardes, sale pute ! Je fais ça pour toi ! »
Claire sursaute et lève les yeux malgré elle. Elle pousse un gémissement d’effroi en voyant les traces de cravache sur mon dos. Elle bafouille :
« – François… C’est… C’est horrible ! Qui vous… »
Les mots s’étranglent dans sa gorge : elle sait bien qui m’a fait ça… Tu sors alors une cravache de ton sac et ajoute :
« – Et il aime ça en plus ! »
Tu me fouettes le sexe :
« – N’est-ce pas, la larve ? »
Je retiens un rictus de douleur :
« – Oui, Maîtresse Milady. »
« – Bien, appuies-toi sur le bureau de ta petite femme. »
« – Bien, Maîtresse Milady. »
Je suis penché vers Claire. Nos regards se croisent. Je lis une intense compassion dans ses yeux. Elle a les larmes aux yeux. Sa main se pose sur mon visage. Je veux m’excuser auprès d’elle, lui dire que ce n’est pas moi… Mais tu me hurles dessus :
« – Trêves de papouilles les amoureux ! Je vais m’occuper de ton cul mon salaud ! »
Tu sors un gode-ceinture et me l’enfile dans l’anus sans ménagement. Je cries de douleur, des larmes me viennent aux yeux. Claire gémit et murmure :
« – François… Vous n’avez pas à supporter ça… »
Avant que je n’ai pu répondre tu dis :
« – Ta gueule, la pouffiasse. Tu vois bien qu’il aime ça ! »
Tu fais bouger le gode en moi :
« – D’ailleurs tu vas venir lui faire du bien, toi qui l’aime tant ! »
Claire blêmit :
« – Il n’en est pas question ! »
Tu souris méchamment et me susurre :
« – François, ma petite larve, je crois que ta petite femme ne veux pas m’obéir… Tu devrais la convaincre, dans son intérêt… »
Tu laisses ta phrase en suspens, je comprend aisément ce que tu sous-entends… Je dis alors à Claire :
« – Viens me prendre, j’aime me faire défoncer le cul comme une petite chienne en chaleur. »
Claire n’est pas dupe, elle se contente de me caresser encore le visage. Enfin elle m’embrasse, tendrement. Elle ne m’avait jamais embrassé comme ça, même quand je l’emmenais en sortie pour la sauter. Tu es furieuse :
« – Viens l’enculer, salope ! Il n’attend que ça ! »
Je la regarde avec douceur et lui dit :
« – Vas-y, s’il te plait. »
Elle me retourne mon regard puis cède enfin :
« – Bien. Si c’est ce que tu veux… »
Elle se lève. Je sens le gode sortir de mon cul. Tu la déshabilles, lui suces les seins. Claire se laisse faire avec réluctance. Enfin tu lui enfiles le gode-ceinture et la fait se placer derrière moi. Tu te places derrière Claire, lui caresses la poitrine et chuchotes :
« – Allez, salope, fais ton travail… »
Tu lui enfonces ton majeur dans le cul et Claire s’avance par réflexe pour échapper au viol de tes doigts. Tu guides le sexe artificiel en moi. Tu murmures méchamment à l’oreille de Claire :
« – Tu vois, c’était pas si difficile… Il ne reste plus qu’à plonger tout ça en lui ! »
« – Mais… C’est trop gros ! »
« – Ne t’inquiètes pas, la larve à l’habitude. N’est-ce pas ? »
« – Oui, Maîtresse Milady. N’hésites pas, Claire. »
Elle s’enfonce alors en moi. Puis tu la forces à faire des va et viens en la caressant. Tu lui demandes :
« – Alors ? Tu aimes, petite pute ? »
« – Non ! Et je suis sûre que François non plus ! »
Tu grognes :
« – Sale pétasse ! Je t’offre son cul et c’est tout les remerciements que j’ai ? T’es qu’une salope ! »
Tu la gifles puis la saisit par la gorge. Ses hanches stoppent leurs mouvements. Tu lui dis :
« – Continues à l’enculer. Sinon je t’étrangle, compris ? »
Elle recommence péniblement. Tu lui pinces méchamment les tétons. Je fais mon possible pour avoir l’air d’aimer ça, pensant que ce sera plus facile pour elle et que cela te calmera. Mais cela produit apparemment l’effet inverse… Claire comprend bien que je me force et rien n’a l’air de pouvoir calmer ta fureur.
Enfin tu repousse Claire et me jette au sol avant de me bourrer de coups de pieds. Je me roule en boule. Claire veut s’interposer mais tu la gifles violemment. Puis tu vas ouvrir la porte en grand, nous laissant tout deux nues à la vue de ceux qui passerait dans le couloir. Claire ne pense même pas à se cacher et vient m’aider à me relever pour m’emmener dans mon bureau. Elle détache ensuite le gode-ceinture et met ma veste avant de retourner dans son bureau pour récupérer nos vêtements et te rendre ton jouet. Le reste de la journée est pesante. Je sens que Claire est prête à éclater en sanglot et tu as l’air encore plus énervée que d’habitude …
A 17h je rentre, comme d’habitude. Aujourd’hui il n’y a pas eu de petit jeu. Tu m’as juste attaché et t’es défoulée avec ta cravache. Puis tu as appelée Justin et il t’a baisé devant moi, plusieurs fois. Anita aussi. Et tu m’as fouettée à nouveau, j’avais le dos en sang…
Le lendemain je suis fourbu, j’ai les traits tirés. Claire me regarde d’un air soucieux. Tu est venue aujourd’hui aussi et tu regardes notre manège d’un air réprobateur. Vers midi tu viens dans mon bureau et me dis simplement :
« – Il faut se débarrasser de Claire. »
« – Tu sais bien que je ne peux pas la renvoyer comme ça… »
Tu hurles :
« – Dis plutôt que tu ne VEUX pas ! »
Puis, plus calmement :
« – Mais ce n’est pas grave, c’est elle qui va démissionner. »
« – Comment cela ? »
« – Comme j’avais prévue initialement : tu vas appeler tes connaissances et la faire violer. Sous nos yeux. Et tu resteras impassible. Elle devrait comprendre que tu n’es rien pour elle. Ou alors c’est une conne et on pourra utiliser des méthodes plus expéditives… »
J’écarquille les yeux :
« – Tu ne veux quand même pas… »
Ta voix se fait sifflante, on dirait un serpent :
« – TOUT plutôt que de continuer à côtoyer cette traînée ! »
« – Je… Je vais essayer de la raisonner, de lui expliquer qu’il faut mieux qu’elle démissionne… »
Tu hurles à nouveau :
« – NON ! Je VEUX qu’elle comprenne qu’elle n’est rien pour toi ! Appelles tes contacts, je veux que ce soir elle se fasse ravager comme la chienne qu’elle est ! »
« – Voyons, Jessy, sois… »
« – TA GUEULE !!! Obéis, c’est tout. »
Tu pars en claquant la porte. Je suis anéanti. Je pose ma main sur le téléphone mais n’arrive pas à trouver le courage. Je retire ma main. Puis ton regard, ta voix pleine de colère me viennent à l’esprit : je suis terrifié, je tremble comme une enfant. Je prend une grande inspiration et compose le numéro…
« – Allô ? »
« – C’est François. J’aurais besoin de vos services. »
« – Pour quoi exactement ? »
« – Une femme qui me pourrit la vie, je voudrais que vous envoyez quelques hommes pour la violer. »
« – Ok. Où ? Quand ? Qui ? »
« – Ce soir, dans le parking de mon lieu de travail. Je vous attendrai pour vous montrer la cible. »
« – Bien. Tarif habituel. »
« – D’accord. »
« – En cash. »
« – Cela va de soi. »
« – A ce soir. »
« – Au revoir. »
Je raccroche. Je me sens vide. Puis je réalise ce que je viens de faire. Pourquoi ai-je voulu avoir encore une nouvelle conquête ? Pourquoi ne t’ai-je pas lâchée ? Ce devrait être toi qui va se faire violer ce soir, pas Claire. Ce n’aurait jamais du être Claire. Elle m’aime. Et moi aussi. Mais je m’en aperçoit trop tard. Quel imbécile j’ai été ! Il est encore temps… Je commence à numéroter à nouveau mais je pense à toi et je me fige avant d’éclater en sanglot.
Claire entre alors dans mon bureau et me voit affaler en pleur. Elle referme doucement la porte et se place à mes côtés, pose sa main sur mon épaule. Si seulement elle savait !
« – Là, François… Ca va aller, tu vas t’en sortir. »
Je sanglotes de plus bel :
« – Je suis désolé, désolé… »
« – Tu n’as pas à l’être, on a tous nos faiblesses… »
Elle ne comprend pas pourquoi je m’excuse, elle crois que c’est pour ce qui c’est passé hier, pour lui avoir imposé ta présence aussi… J’aimerai lui dire de fuir, mais je n’y arrive pas. Pourquoi ne suis-je pas capable de trouver la force de sauver la femme que j’aime ? Pourquoi suis-je lié à toi à ce point ? Claire s’assoit sur le bureau et je pose ma tête sur ses genoux. C’est si doux. Bientôt elle ne sera plus là pour moi…
—– Elle —–
18 h 30, tout était mis en place.
Vos hommes de main attendaient dans le parking. Ils étaient six. Je les avais vu avant pour leur expliquer ce que vous attendiez exactement d’eux. Leur travail leur paru plaisant. Ça m’a réjouit aussi. J’ai mis une robe très sexy et je me suis bien maquillée. A 18 h 00, je suis repassée par le bureau. Claire rangeait ses affaires et m’a regardé d’un air dégoûté.
« Qu’est ce qu’il y a Claire, quelque chose ne te plait pas ?
– C’est ta tenue, tu te crois où ?
– Je me crois que je vais dans le bureau de François pour le chercher et passer une bonne soirée avec lui !
– Et tu crois que ta tenue de pute va lui plaire ?
– Un : il aime toutes mes tenues… Deux : on verra bientôt qui est la plus pute de nous deux ! »
Sur cet échange avec Claire, je suis entrée dans votre bureau. J’ai fermé la porte et je me suis installée sur vos genoux et je vous ai donné un gros baiser sur la joue : « Je t’aime ma grosse lavette, je vais te montrer combien je t’aime et après toi aussi tu me montreras combien tu tiens à ta gentille Maîtresse… » Et je me suis mise à vous caresser avec la main et vous lécher avec la langue. Une dizaine de minutes plus tard, Claire a entrouvert la porte pour dire bonsoir. Elle nous a vu. Elle a marmonné quelques mots et est vite partie.
« Allez mon petit toutou, c’est le moment de lancer les réjouissances. Montre moi de quoi tu es capable. Appelles-les et dis la phrase qu’ils attendent ».
Vous avez hésité. J’ai serré vos testicules dans ma main. Au lieu de souffrir vous sembliez jouir. J’ai insisté. Vous avez composé un numéro et vous avez dit : « Ici, François Du castel. La cible c’est la blonde en robe bleue. Elle arrive dans le parking. » Vous avez raccroché et je vous ai senti très tendu.
A peine une minute plus tard, Claire était jetée sur le parquet de votre bureau. Les six gorilles étaient derrière elle. Ils l’ont soulevée. Ils l’ont plaquée contre votre bureau. L’un d’eux a attaché une corde à son poignet droit. Il a lancé l’autre bout sous la table. Un autre l’a ramassée et l’a attachée au poignet gauche de Claire. Elle était maintenant aplatie sur votre bureau, les bras tirés de chaque côté. Elle poussait des « Oh ! » offusquée. « Oh ! Oh ! Oh !» et puis « François ! Mais enfin François ! » « François, dites quelque chose !!! » « François, faites quelques chose… » Sa voix s’étranglait de rage. Elle vous regardait pleine d’interrogation et de crainte. Elle nous regardait en fait parce que j’étais toujours sur vos genoux.
Vous étiez assis dans votre fauteuil face à Claire attachée sur le bureau. Elle vous implorait et moi, je vous caressais. J’avais ouvert votre chemise, je caressais votre poitrine et je pinçais vos tétons. Je posais ma main sur votre pénis et je le sentais bine dur dans votre pantalon.
« Allez mon petit pou, dis à ces messieurs ce qu’il doivent faire de cette connasse… »
Mais vous n’arriviez pas à parler. Je tordais vos tétons l’un après l’autre. Au toucher de votre pénis, je savais que vous jouissiez de plus en plus et pourtant vous ne disiez rien. Vous transpiriez et Claire aussi. Les hommes avaient attaché chacun de ses pieds à un pied du bureau. Elle était immobilisée, prête pour la suite. Les hommes se sont reculés attendant votre ordre. D’une main, j’ai ouvert votre pantalon. Ma main s’est glissée dans votre caleçon et j’ai serré vos testicules. J’ai serré fort. J’ai serré très fort et vous avez crié : « Baisez là ! » J’ai continuait à serrer et vous n’avez rien pu ajouter d’autre. Quand je vous ai laissé, vous aviez du mal respirer.
Vous cherchiez à respirez à nouveau. Pendant ce temps, un des six hommes s’est approché calmement derrière Claire. Il a rabattu sa robe sur son dos. Il a ouvert son couteau et a découpé les deux côtés de son slip avant de tirer dessus et le jeter sur le bureau. Claire vous implorait de faire arrêter cette mascarade. Claire implorait l’homme de la laisser tranquille. Il a appuyé sa verge contre ses fesses. Elle s’est mise à crier. Elle hurlait d’une manière désespérée. Il n’y avait plus personne dans l’entreprise pour l’entendre. L’homme frotta quelque peu son gland sur le sexe de Claire puis il la pénétra. Elle poussa un long cri pour dire qu’elle ne voulait pas. Maintenant tout son corps se déhanchait au rythme des mouvements de l’homme qu’elle avait en elle. Elle ne criait plus mais continuait à se lamenter. Elle vous regardait puis fermait les yeux. Je suis descendue de vos genoux. Je me suis mise entre vos cuisses et j’ai pris son sexe dans ma bouche.
Je vous ai sucé longuement. A chaque fois que je vous sentais venir, je me retirais et je serrais de toutes mes forces votre sexe dans ma main. J’attendais un peu et quand je vous sentais ramollir, je le reprenais en bouche. Je vous ai laissé jouir dans ma bouche. Elle était pleine de sperme. Je me suis relevée. Claire venait de faire jouir son troisième homme. Je lui ai soulevé la tête en tirant sur ces cheveux. Elle gardait la bouche fermée. J’ai pincé son nez. Elle a fini par ouvrir la bouche. J’ai collé ma bouche contre la sienne et j’y ai tout vidé. Elle a aussitôt recraché votre sperme mélangé à sa salive sur le bureau. Je l’ai giflé. Un quatrième homme est arrivé derrière elle. Il l’a violemment frappé sur ses fesses avec une règle en bois qui traînait sur votre bureau. Je continuais à lui tirer les cheveux. Je l’ai ainsi obligée à laper tout le sperme répandu sur le bureau et elle l’a fait pendant que le quatrième homme prenait son pied.
Je me suis de nouveau installée sur vos genoux. Je vous ai donné une grosse bise sur le front en vous chuchotant « Merci mon lapin adoré… ». Nous avons regardé Claire se faire prendre par les deux derniers hommes. J’ai pris votre téléphone et j’ai photographié le visage de Claire en larmes. Si la salope pensait que c’était fini pour elle, elle se trompait. Je ne l’aimais pas, mais vraiment pas. « Bon maintenant, on va chez elle ! La soirée ne fait que commencer… »
Nous avons pris votre voiture. Vous conduisiez. J’étais assise à côté de vous. Claire était derrière entre deux gorilles. Les quatre autres nous suivaient dans leur voiture. Vous conduisiez tout doucement et je me moquais de vous. Vous étiez droit et vous évitiez de regarder dans votre rétro ce qui se passait derrière. Moi, par contre je me retournais fréquemment pour narguer Claire :
« Alors qui c’est la plus salope ? Celle qui se fait sauter devant son amant ou celle qui le suce gentiment ? »
« Lequel des six t’as préféré ? Tu ne sais pas ? T’auras le droit à un deuxième tour ! »
« T’as déjà emmené François chéri chez toi ? »
« Je me demande comment c’est chez toi ? Un appart de vieille fille certainement… »
« Ton maquillage a coulé ma chérie… »
« Tu ne dis plus rien ? »
« Tiens, on arrive chez toi poufiasse de merde ! »
On est monté chez elle. Un deux pièces très bien rangé. Un des gorilles lui a tout de suite scotché la bouche. Les autres se sont mis à la bousculer, se la lançant de l’un à l’autre et en lui donnant une gifle ou une claque sur les fesses. Ils se la balançaient de plus en plus vite. Elle a fini par perdre l’équilibre et tomber. Ils lui ont donné des coups de pieds puis ils l’ont relevé et ont recommencé à se la balancer. Elle s’est vite retrouvée nue. Elle était quand même pas mal balancée. J’ai demandé au chef des gorilles d’arranger ça au cours de la soirée.
Ils l’ont prise à nouveau dans différentes positions, à même la moquette ou sur des meubles. Ils l’ont traînée dans toutes les pièces, la cuisine et la salle de bain. Pendants certains la baisaient et la frappaient, les autres vidaient les tiroirs, cassaient les bibelots, vidaient des boites par terre. Je les aidais en sautant de joie. J’essayais de vous entraîner avec moi. Vous étiez récalcitrant. J’avais enlevé votre pantalon et baissé votre caleçon. Je vous encourageais avec mon doigt enfoncé dans votre anus.
La soirée continuait. Claire n’était plus très fraîche. Son appartement était sans dessus dessous. Les hommes se sont mis à pisser partout sur les meubles, sur la moquette et sur Claire aussi. J’ai exigeais de vous que vous fassiez comme eux. J’ai dû insister avant que vous le fassiez. Les hommes ont mis Claire à genoux, ils l’ont forcé à garder la bouche ouverte et vous avez uriné dans sa bouche. J’avais deux doigts dans votre anus. Claire était couverte d’urine. Je vous ai demandé de lui faire l’amour. Vous avez refusé.
J’ai demandé aux hommes de jouer avec elle jusqu’à ce que vous acceptiez. Vous avez tenu dix minutes avant de vous allonger sur elle et de lui faire l’amour. C’était romantique et pathétique.
Après, j’ai tenu à ce que vous me rameniez chez nous. Nous avons laissé Claire avec ses nouveaux amis.
« Je crois que tu devras embaucher une nouvelle secrétaire pour m’aider au bureau. Je sens que je vais être débordée de travail… »
Proposée par Talis Cat