Je ne sais pas ce que j’ai, mais je ressens une douce chaleur qui m’envahit à nouveau, comme tout à l’heure sous la douche, quand je me faisais bander les tétons avec l’eau froide. Je porte ma main droite sur ma chatte, que je trouve toute humide et moite. J’écarte le bord du slip pour sentir le contact de mes doigts sur mon sexe, mon index vient effleurer le haut de ma touffe blonde.
Le contact avec ce point précis m’électrise. Je sens un bouton durcir sous mon doigt et je ne peux m’empêcher de le frotter avec volupté, d’autant plus facilement que je mouille de plus en plus, et que j’y prends un plaisir dont j’avais entendu parler, mais que je ne pensais pas être aussi agréable. Hum ! Mais soyons sérieuse et replongeons dans cette lecture des plus édifiantes…
Tandis que Marc, allongé sur le dos, enfonçait sa bite au plus profond du sexe de la fille, Raimondo s’efforçait de lui lécher le trou du cul. Il voulait ainsi en assurer la lubrification nécessaire à ses projets. Amélie, excitée de toute part, râlait de plus belle et ses cris émoustillaient encore plus tous les spectateurs. Marc, allongé dans l’herbe fraîche qui lui chatouillait les fesses, transpirait à grosses gouttes et Amélie, qui mouillait comme une folle, montait et descendait à une allure d’enfer sur la bite du julot. Puis, Raimondo la fit se pencher en avant. Il commença par exciter la rondelle de l’anus de son majeur. Quelques massages appuyés du bout de son doigt et déjà la corolle s’élargissait. Après avoir présenté son gourdin à l’entrée du petit trou, il s’enfonça comme dans du beurre jusqu’au fond des entrailles de la fille…
Nadine, complètement jalouse de l’attention portée à Amélie par les mecs décide de les exciter au max.
– Servez-vous les mecs, faites-lui en un peu baver quoi, elle attend que ça !
Toute résistance de la part d’Amélie a vite été inutile devant les quatre mecs et Nadine qui leur prête main forte. Etienne lui rabat les mains dans le dos et les attache avec sa ceinture. Nadine défait les boutons du chemisier et dévoile un soutien-gorge noir en dentelle fine qui met en valeur deux seins ronds et fermes, magnifiques. Maxime remonte la jupe large sur les hanches jusqu’à ce que le porte-jarretelles soit offert à la concupiscence du groupe. Un string noir protège très sommairement l’intimité d’Amélie. Cinq paires de mains s’activent sur la jupe et sur les fringues, se glissent sous les bras et les cuisses et soulèvent la belle pour la porter jusqu’à un arbre abattu par la foudre. Les 5 compères lui attachent bras et jambes écartelés autour de l’arbre. Le chemisier débraillé est remonté haut sur son dos, laissant son corps libre dans le petit vent frais qui lui chatouille les hanches. Le soutien-gorge est dégrafé et jeté aux orties. Les seins fermes s’écrasent sur l’écorce rugueuse. La jupe est relevée bien haut, laissant voir un cul magnifique offert à la convoitise de la bande, souligné par le string.
Raimondo s’approche le premier, tandis que Nadine s’assied à califourchon sur le dos de la malheureuse, elle se saisit à pleine mains des fesses de la fille et les écarte, laissant apparaître l’œillet foncé et la chatte toute rose entourée de poils follets. Compte tenu des circonstances, la fille ne mouille plus trop. La hargne de Nadine lui fait comprendre que le jeu tourne à son désavantage. Raimondo, d’un coup sec, arrache le slip.
– Approche ta queue, Marc, lance Nadine.
Elle prend le sexe turgescent à plaines mains, se penche et commence à le sucer. Elle enrobe le gland de ses lèvres, se retire, crache sur le sexe, et l’engloutit jusqu’aux couilles. La queue luit de la salive qui dégouline dessus. Nadine lèche à présent le cul d’Amélie qui se débat dans ses liens. Elle crache un long jet qui s’écrase sur le trou brun et présente la bite à l’entrée de l’orifice.
– Voilà ma belle ! Allez les mecs, tout le monde à poil, au travail !
Le signal du départ étant donné, c’est le branle-bas de combat (ou le branle bas de con bas) dans la clairière autour de la scène centrale avec la suppliciée comme actrice privilégiée. Raimondo s’active dans des va-et-vient forcenés qui le font s’enfoncer tantôt dans le cul, tantôt dans la chatte de la fille. Il s’agite en cadence, la bite sort et ressort en émettant des gargouillis. Cela l’excite encore plus et il ne peut…
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