Ma rencontre avec maître François

En manque de sexe, je suis tombée sous l’emprise de celui qui allait devenir mon maître…

Traversant depuis plusieurs mois une phase sans homme dans ma vie, je me suis résolue à me chercher une aventure sexuelle sur un site de rencontres sur Internet.

J’ai échangé des messages avec des mecs de tout âge, race et préférences sexuelles, mais sans qu’aucun n’arrive à me donner envie d’une rencontre réelle.

Lasse de perdre mon temps à chatter des heures et des jours sans que rien n’arrive et avec une envie de sexe de plus en plus pressente, je me décide enfin à me contenter de me faire défoncer par le premier venu qui soit suffisamment bien membré. Après tout, ce que j’avais besoin c’était d’une bonne bite et pas d’une conversation avec un grand intellectuel !

C’est tout de suite après cette décision que j’ai reçu un message d’un tel François. Il a tout de suite centré sa conversation sur ce qu’il voulait me faire. Il utilisait un langage très cru qui m’a immédiatement fait mouiller comme une folle. Il se montrait assez dominant et disait vouloir m’éduquer si j’acceptais d’être obéissante et soumisse à ses désirs, me promettant que je serais très comblée et que le seul problème que je pourrais avoir c’est d’en vouloir plus mais qu’il décide que je ne méritais pas d’être sa chose.

Il démontrait une telle assurance et une telle virilité que je n’ai pu résister à vouloir le rencontrer. Je lui ai quand-même mis mes exigences : Premièrement, je voulais m’assurer qu’il était suffisamment bien membré pour me satisfaire entièrement. Je lui ai donc demandé de m’envoyer une photo de sa bite en érection, ce qu’il a fait à ma plus grande satisfaction, lorsque j’ai pu constater que son engin était vraiment digne d’être catalogué d’impressionnant ! Ma deuxième demande était de ne pas me blesser ou me frapper, car si je voulais bien me faire dominer, je n’aime pas la violence. Il m’a promis que tout ce qu’il allait me faire n’allait me donner que du plaisir… Et il a tenu parole.

J’ai donc promis de lui obéir et de faire ce qu’il me demanderait. Il m’a dit de me rendre chez lui tout de suite. Il tenait à ce que je m’habille très sexy et m’a guidé dans mon choix des vêtements en me posant des questions sur ce que je pouvais avoir. Après avoir pris en note son adresse, je suis allée prendre ma douche, me maquiller et m’habiller d’un corset noir serré qui donnait une forme splendide à mes gros seins qui ne pouvaient plus de vouloir se laisser aller aux désirs d’un mâle.

Sans aucun autre sous-vêtement, j’ai mis un porte-jarretelles, une robe courte ajusté qui pouvait s’ouvrir facilement à l’aide d’un zipper qui allait du haut jusqu’en bas de la robe. J’ai mis des sandales très sexy à talons hauts et j’ai pris la voiture pour me diriger vers la demeure de maître François.

Tel que convenu avec lui, je l’ai appelé avant d’arriver chez lui. Il m’a alors dit que je devais suivre ses ordres sans rechigner, sans quoi, il allait refuser de me satisfaire. Ne voulant surtout pas manquer les délices qu’il m’avait promise, j’ai accepté de suivre au pied de la lettre tout ce qu’il allait m’indiquer. Je me suis concentrée à bien écouter ses ordres et à ne rien oublier.

En arrivant, la porte était ouverte, telle qu’il me l’avait dit. Je suis rentée dans un petit vestibule où des menottes et un bandeau pour mes yeux reposaient sur une chaise. J’ai d’abord bandé mes yeux et attaché mes mains en avant avec les menottes. J’ai ouvert la porte du vestibule pour entrer sans pouvoir rien voir autour de moi. C’est alors que j’ai entendu des pas s’approcher de moi et la voix de François, que j’ai pu reconnaître, m’annonçant comme sa petite esclave. Je ne comprenais pas au début car il m’a semblé étrange qu’il me parle ainsi, mais mon incompréhension n’a pas duré longtemps, lorsque j’ai entendu la voix de deux autres hommes qui lui ont répondu.

– Tu as toujours du bon goût François, quelle belle pièce de femme que tu nous montres là.
– Elle est très sexy dans cette tenue, et elle a une paire de seins et des fesses de petite salope qui me font bander rien qu’à la regarder.

Consternée par cette situation inattendue, j’ai voulu enlever mon bandeau des yeux pour protester, mais François m’a pris les poignets et m’a susurré à l’oreille que j’avais promis de lui obéir et que je n’avais rien à craindre car il avait fait promettre à ses amis de respecter son engagement de ne pas me faire du mal. Il a alors pris mes seins avec ses deux mains et parcouru mon corps comme pour vérifier la qualité physique de son esclave. Il a terminé son inspection en mettant sa main en dessous de ma robe pour toucher mon sexe et dire à ces copains :

– Elle mouille déjà de plaisir cette petite femelle en chaleur qui se meurt d’envie de satisfaire tous nos désirs. Messieurs, on va la guider jusqu’à la salle des plaisirs et donner à mon esclave sexuelle le traitement qu’elle mérite.

J’étais un peu effrayée de me sentir ainsi démunie et à la merci de trois mecs que je ne pouvais même pas voir, mais au même temps j’étais tellement excitée que j’ai obéi sans résister. J’ai marché à côté des deux hommes qui mon pris chacun d’un bras pour m’amener quelque part dans la maison. Ils se sont arrêtés et m’ont fait assoir sur ce qui semblait être un canapé très confortable.

L’un deux, s’est mis à caresser mes seins, il a descendu un peu mon corsage pour libérer mes mamelons et s’est mis à les lécher, les mordiller et les tripoter d’une façon tellement experte que j’ai commencé à gémir de plaisir. Avec les yeux bandés, cela m’excitait comme jamais et j’avais envie de m’abandonner complètement à satisfaire tous leur désirs.

J’ai entendu des bruits qui m’ont fait comprendre que les deux autres hommes enlevaient leurs vêtements, quand tout à coup, je sens une bite bien dure qui touche ma bouche et François qui me dit : « Vas-y ma petite salope, maintenant tu peux enfin me montrer comment tu sais manger une grosse bite. Régale-toi et ne me déçois pas. »

Je me suis exécutée en commençant par caresser doucement avec ma langue ce gland délicieux qui s’offrait à moi, pour continuer par le sucer et le faire rentrer de plus en plus profond dans ma gorge. François m’a alors pris la tête entre ses mains pour sortir momentanément sa verge de ma bouche et m’embrasser à coups de langue délicieux qui ont fait monter encore plus mon désir. Quand il a à nouveau rentré sa bite dans ma bouche, je me suis abandonnée à la laisser aller jusqu’au fond de ma gorge et ressortir au rythme qui m’imposait mon maître, me forçant à l’engloutir toute entière avec ses mains qui retenaient ma tête.

Pendant ce temps, aux caresses qui continuaient à s’occuper de mes mamelons, s’est joint la main experte du troisième gars qui a commencé à s’occuper de ma chatte dégoulinante de plaisir n’offrant aucune résistance aux doigts experts qu’y entraient et sortaient et ne s’arrêtaient que de temps à autre pour caresser mon clitoris.

Après plusieurs minutes de plaisir intense, François a sorti de ma bouche, a écarté ses copains et m’a enlevé ma robe et mon corset, pour ne laisser uniquement avec mon porte-jarretelles et mes talons hauts. Il m’a fait agenouiller pour que je suce ses bites qui se partageaient ma bouche tour à tour.

Ils faisaient des commentaires pour m’encourager à continuer et me complimentaient de mon obéissance et de ma docilité. J’étais aux anges ! Je n’aurais jamais imaginé que me soumettre aux désirs de ces trois inconnus allait me plaire autant. Je me sentais tellement salope et j’aimais tellement ça !

Je me suis appliquée à satisfaire les trois mecs avec des fellations de plus en plus lascives, jusqu’à ce que François me fasse mettre debout pour me faire assoir sur lui en me pénétrant enfin. Sa grosse bite dans ma chatte, qui était tellement bien lubrifiée par mon jus et malgré la dimension incroyable de son engin, il a pu le rentrer au complet d’un seul coup. J’ai crié de plaisir, mmmm, c’était tellement bon !!!

François ne bougeait plus. Avec ma chatte remplie de son pénis, il me suce, caresse mes seins et me dit :

– Je suis très satisfait de ton obéissance à ton maître et d’être si docile à combler comme il se doit mes invités. Tu te comportes comme une bonne petite pute qui sait satisfaire les mâles que nous sommes et qui adorons les petites salopes comme toi, tu te laisses aller au plaisir que nous te donnons si gentiment. Tu mérites donc d’avoir un orgasme comme tu n’en as jamais eu de ta vie. Nous allons remplir tous tes orifices avec nos bites et pour nous remercier, tu n’aurais qu’à avaler le sperme que chacun de nous va cracher dans ta bouche après que tu aies joui comme une folle. Veux-tu accepter ce cadeau de ton maître ?
– Oui, oui, s’il-vous-plaît. (je me suis entendu lui répondre)

Il a sorti son engin bien lubrifié de ma chatte et il a commencé à l’introduire par des petits coups dans mon cul. J’étais tellement excitée, que mon orifice anal s’est dilaté très rapidement jusqu’à presque le laisser s’enfoncer au complet. Il est alors revenu dans ma chatte pour me pénétrer encore une fois jusqu’au fond. L’un de ses amis est venu prendre sa place dans mon anus, tandis que l’autre, probablement debout derrière le canapé, m’a pénétré sa bite dans la bouche.

Je n’arrêtais pas de pousser des gémissements de des petits cris de plaisir. Je me sentais remplie dans mes trois orifices par ces grosses bites délicieuses et expertes qui bougeaient au même rythme me faisant presque perdre connaissance du plaisir intense que cela me procurait. François marquait le rythme et accélérait la cadence en suivant l’intensité de mes cris de plaisir.

Lorsque en plus, il s’est mis à pincer mes mamelons avec ses doigts, j’ai été secouée par un très fort et long orgasme extraordinaire, en même temps que j’ai senti un jet chaud de sperme, sorti de la bite que je suçais, inonder ma bouche, je l’ai avalé avec gourmandise.

Les deux autres bites se sont retirées de mon cul et ma chatte. François m’a fait agenouiller encore une fois pour que lui et son copain déversent leur sperme à leur tour dans ma bouche. J’ai tout avalé sans me plaindre et, suivant les ordres de François, j’ai nettoyé soigneusement avec ma langue toute trace de jus qui restait sur sa verge.

Il ma donné une petite tape sur les fesses et m’a aidé à me rhabiller. Après, il m’a guidé jusqu’à la porte, libéré des menottes et du bandeau qui couvrait mes yeux et m’a embrassé tendrement dans la bouche pour me laisser partir. Lorsque je sortais, il m’a dit :

– Tiens-toi prête à revenir me voir lorsque je te le demanderai. Tu as été délicieuse et je veux vouloir te faire jouir encore, ma belle petite salope soumisse et obéissante à maître François.

Je suis rentrée à la maison très contente et satisfaite.

François continue à me faire vivre régulièrement des expériences semblables. Il m’appelle, j’arrive chez lui et il me fait vivre des heures de plaisir incomparables. D’une fois à l’autre, il modifie légèrement les scénarios les rendant plus fous et exubérants les uns des autres. J’adore ces aventures et deviens de plus en plus soumisse à ses désirs. J’adore être son esclave sexuelle et sa petite salope. C’est trop bon !

Proposée par salopine.

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