Dans le bus

Voici une brève histoire qui pourrait être la nôtre. Lors d’un de mes voyages d’affaires pour un congrès en dehors de la ville, je t’ai rencontré et j’ai vécu une expérience incroyable.

Ma valise déposée, je me faufile jusqu’au fond d’un bus pour me retrouver assis à côté d’un homme d’un certain âge. En face, près de la fenêtre se trouve une dame et à ses côtés, vis-à-vis moi, une jolie fille ! C’est toi, dont la silhouette m’envahit l’esprit. D’un bref coup d’oeil, je t’imagine déjà en sous vêtements des plus suggestifs. Mon esprit, que dis-je, mon imagination n’est absorbée que par toi. Je sens en moi monter une douce chaleur qui ne tarde pas à atteindre le bas de mon ventre. Pour tenter de me contrôler et de calmer mes ardeurs, je change de position et tente de m’installer un peu plus confortablement. Ce faisant, ma jambe vient en contact avec l’une des tiennes.

Cet effleurement banal, malgré sa subtilité ne fait qu’aggraver mon état. J’observe ta réaction, rien n’y paraît. Soit tu dors, soit tu feins de n’avoir rien senti. Ce contact accidentel me donne des idées et j’accentue ma pression en glissant ma jambe entre les tiennes. Qu’elle n’est pas ma surprise de les sentir s’écarter lentement, dévoilant plus largement le haut de tes cuisses. Je ne me suis pas trompé. Tu portes bien des bas jarretelle et dans la pénombre, il me semble que tu as entrouvert les yeux. Je tente de croiser ton regard mais n’y parviens pas. Du bout de mon genou que j’étire de plus en plus, je te caresse maintenant les cuisses. Discrètement, tu te laisses glisser légèrement sur la banquette, rapprochant ton ventre de mon genou. D’un mouvement habile et presque imperceptible, tu retires une de tes chaussures et déposes ton pied sur ma banquette entre mes deux cuisses. Tout à coup, sans avertissement, tu fais courir tes orteils contre ma braguette en une délicate caresse. Je dois me retenir pour ne pas jouir de cette simple mais si merveilleuse attention.

Soudain, le bus ralentit à l’entrée d’un petit village. Je prie le ciel pour que notre petit jeu se poursuive. Je crois avoir été entendu puisque nos deux voisins se lèvent à cette destination. Quelques instants plus tard, on redémarre, personne n’est entré dans notre compartiment. Le miracle se produit, le vide se fait autour de nous. Sans que je ne m’y attende, tu te lèves et tu viens prendre la place de l’homme qui est parti, tout près de moi. Toujours sans un mot, tu te tournes un peu vers moi, tournant le dos à la fenêtre et pose l’une de tes jambes sur ma cuisse. Ta jupe se relève d’elle-même par cette élévation. Soudain, tu prends tendrement ma main et la glisse sous ta jupe. Je sens la douce moiteur de ton entrejambe au travers d’une fine culotte en dentelle. Mes doigts griffent doucement le tissu, je peux sentir tes lèvres gonflées par le désir.

Je me penche un peu vers toi et dépose délicatement un baiser près de ton oreille, mes doigts caressent ta fente au travers de ta culotte, ma queue est maintenant en pleine érection, elle prend des proportions démesurées. Je glisse lentement mes doigts sous ta petite culotte que j’écarte avec soin. Je caresse tes lèvres qui sont maintenant bien humides et qui semblent aspirer mes doigts. Nos langues se mêlent en un baiser torride, tu fais glisser ma braguette, tu introduis ta douce main dans mon boxer et masse tendrement ma queue prête à exploser. Nous restons là quelques instants à nous caresser puis dans un murmure, tu me demandes de te suivre. Nous nous rendons complètement à l’arrière de l’autobus où nous constatons d’un sourire complice le vide total, le désert. L’étroitesse du lieu et le roulement cahoteux de la route nous plaquent l’un contre l’autre amoureusement.

Je te mordille sensuellement le cou, mes mains se plaquent sur tes seins qui réagissent immédiatement. Tu dégrafes ton chemisier et je caresse ta peau douce. Je libère tes mamelles de leur prison de dentelle. Ils sont magnifiques, dressés fièrement, ils durcissent encore plus sous l’effet de mes caresses. Je fais rouler tes tétons entre mes doigts humectés de ma salive puis je pétris la chair ferme de tes deux globes. Avec une habileté sans pareille tu sors mon sexe de mon pantalon qui est devenu comme un étau. Je me retrouve ainsi le sexe à …

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